«Au terme des différentes démarches du Cadre Unitaire, il y a lieu de continuer le plaidoyer relatif au règlement de la dette. Conformément à notre dynamique il s’agit de dire aux parents comme aux étudiants, que la rentrée 2018/2019 n’est pas possible tant que les montants dus ne seront pas payés», ont informé les membres du Cudopes qui se sont réunis ce lundi pour se pencher sur la posture à adopter en cette rentrée académique 2018-2019.
Les membres de cette association qui réclament toujours 16 milliards de francs Cfa à l’Etat n’envisagent pas de reprendre des étudiants si cette dette n’est pas réglée. Car pour eux, ce n’est pas normal que cette situation persiste d’autant plus que «ces sommes correspondent à des prestations faites depuis l’année académique 2016-2017, c’est-à-dire des enseignements donnés, des examens faits en licence, BTS et master et même des promotions sorties en juillet 2018».
Avant de préciser que : «la rentrée 2018/2019 pour les passants en L2, L3, BTS et MASTER : on suppose que même si le programme s’arrête aujourd’hui ceux qui sont dans le boyau devraient finir leur cursus conformément au contrat. Les seuls effectifs à ne pas prendre en compte pour 2019, concerneraient ceux qui ont fini le cycle en juillet 2018 en BTS, en L3 et en Master».
Selon eux, «les crédits de la LFR (3 000 000 000) votée en juin 2018 représentant 1/5 de la dette viennent seulement de donner lieu à des virements en octobre 2018. »
Fustigeant la posture la Cudopes rappelle qu’ «aucun étudiant orienté dans les EPES, ne pourra reprendre ses cours tant que les mesures suivantes n’auront été prises », sans «’apurement total des factures en instance couvrant le reliquat de l’année académique 2016-2017 et l’intégralité de l’année académique 2017-2018, dont les prestations sont déjà exécutées donc le service fait ; Le respect des dispositions contractuelles en amont et la mise en œuvre des procédures en aval pour la mise en place des 50%, au démarrage et le règlement des décomptes à bonne date au titre de l’année académique 2018-2019… »
Les membres de cette association qui réclament toujours 16 milliards de francs Cfa à l’Etat n’envisagent pas de reprendre des étudiants si cette dette n’est pas réglée. Car pour eux, ce n’est pas normal que cette situation persiste d’autant plus que «ces sommes correspondent à des prestations faites depuis l’année académique 2016-2017, c’est-à-dire des enseignements donnés, des examens faits en licence, BTS et master et même des promotions sorties en juillet 2018».
Avant de préciser que : «la rentrée 2018/2019 pour les passants en L2, L3, BTS et MASTER : on suppose que même si le programme s’arrête aujourd’hui ceux qui sont dans le boyau devraient finir leur cursus conformément au contrat. Les seuls effectifs à ne pas prendre en compte pour 2019, concerneraient ceux qui ont fini le cycle en juillet 2018 en BTS, en L3 et en Master».
Selon eux, «les crédits de la LFR (3 000 000 000) votée en juin 2018 représentant 1/5 de la dette viennent seulement de donner lieu à des virements en octobre 2018. »
Fustigeant la posture la Cudopes rappelle qu’ «aucun étudiant orienté dans les EPES, ne pourra reprendre ses cours tant que les mesures suivantes n’auront été prises », sans «’apurement total des factures en instance couvrant le reliquat de l’année académique 2016-2017 et l’intégralité de l’année académique 2017-2018, dont les prestations sont déjà exécutées donc le service fait ; Le respect des dispositions contractuelles en amont et la mise en œuvre des procédures en aval pour la mise en place des 50%, au démarrage et le règlement des décomptes à bonne date au titre de l’année académique 2018-2019… »
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