Les travailleurs du centre Hospitalier Abass Ndao ont décrété une grève de 48 heures à partir de mercredi. Face à la presse, mardi, ils ont accusé le directeur de "pourrir" la situation au sein du centre Hospitalier.
"Depuis plus d'un mois, le Centre hospitalier Abass Ndao (Chan) est dans la tourmente du fait de son directeur Dr EL Hadji Magatte Seck qui est en train de jouer au pourrissement de la situation. Le chan souffre de la gestion du directeur et de son staff qui font dans le tâtonnement. Spécialiste des marchés, le directeur qui est à son premier essai dans une structure hospitalière de troisième niveau ne sait plus où mettre les pieds", expliquent les travailleurs.
En plus "des dettes sociales, de plusieurs années d'arriérés", ils dénoncent aussi "les recrutements abusifs des prestataires (les parents mieux payés que les anciens), le maintien des retraités avec des contrats spéciaux de 500.000f/mois, le refus d'apurer du reliquat de salaire des 59 agents, la transformation de l'hôpital en une usine de fabrique de paysages, l'affectation arbitraire de la représentante du personnel, etc."
Le personnel exige un audit de la gestion du Dg. Il a constaté "pour déplorer l'attitude du vice-président du conseil d'administration qui joue au dilatoire et à la diversion en convoquant une séance le mardi 29 septembre 2020 à l'insu du personnel, sans convoquer encore une fois la représentante légalement élue par le personnel de l'hôpital Abass Ndao". Selon les travailleurs, "cette attitude déplorable constitue une rupture de son engagement vis-à-vis des partenaires sociaux que nous sommes". Toutefois, ils vont assurer le service minimum et traiter les urgences durant cette période.
"Depuis plus d'un mois, le Centre hospitalier Abass Ndao (Chan) est dans la tourmente du fait de son directeur Dr EL Hadji Magatte Seck qui est en train de jouer au pourrissement de la situation. Le chan souffre de la gestion du directeur et de son staff qui font dans le tâtonnement. Spécialiste des marchés, le directeur qui est à son premier essai dans une structure hospitalière de troisième niveau ne sait plus où mettre les pieds", expliquent les travailleurs.
En plus "des dettes sociales, de plusieurs années d'arriérés", ils dénoncent aussi "les recrutements abusifs des prestataires (les parents mieux payés que les anciens), le maintien des retraités avec des contrats spéciaux de 500.000f/mois, le refus d'apurer du reliquat de salaire des 59 agents, la transformation de l'hôpital en une usine de fabrique de paysages, l'affectation arbitraire de la représentante du personnel, etc."
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