Pour la première fois depuis plusieurs années, le Real Madrid s'avançait vers un clasico dans la peau du favori après un début de saison idyllique. En Liga comme en Ligue des champions, la maîtrise des Merengue laissait supposer que les protégés de José Mourinho étaient devenus supérieurs à une formation du FC Barcelone bien moins souveraine depuis la reprise. Tout ceci n'était qu'un leurre. De nouveau balayé (1-3) devant son public par les Catalans, le Real a encore mesuré le fossé le séparant du champion d'Espagne et d'Europe en titre.
Barcelone sur la plus haute marche
Maître des débats, le Barça aurait même pu l'emporter par quatre ou cinq buts d'écart avec un peu plus de réalisme. La réalisation de Fabregas (66e), qui a marqué à cette occasion sa huitième réalisation en dix titularisations sous le maillot catalan, est finalement venue mettre un terme à tout suspense. Grâce à cette troisième victoire décrochée en sept confrontations avec le Real Madrid en 2011, le FCB, qui compte un match de plus joué, prend les commandes de la Liga à la différence de buts particulière. Quelle que soit la philosophie de jeu ou la tactique mise en place par Madrid, la patron, c'est bien le Barça !
Avec France Football
Barcelone sur la plus haute marche
Maître des débats, le Barça aurait même pu l'emporter par quatre ou cinq buts d'écart avec un peu plus de réalisme. La réalisation de Fabregas (66e), qui a marqué à cette occasion sa huitième réalisation en dix titularisations sous le maillot catalan, est finalement venue mettre un terme à tout suspense. Grâce à cette troisième victoire décrochée en sept confrontations avec le Real Madrid en 2011, le FCB, qui compte un match de plus joué, prend les commandes de la Liga à la différence de buts particulière. Quelle que soit la philosophie de jeu ou la tactique mise en place par Madrid, la patron, c'est bien le Barça !
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