Le club phocéen est éliminé de la Ligue Europa sans surprise. Mais l'OM a laissé échapper la qualification en amont de cette rencontre face à la Lazio, qui est probablement l'équipe la plus forte de ce groupe H. Rudi Garcia et ses hommes peuvent ruminer le nul à Limassol (2-2) et leur entame catastrophique à domicile face à Francfort (1-2), beaucoup moins la claque prise au Vélodrome face aux Italiens (1-3). Les Marseillais pourront aussi regretter leur match de ce jeudi, perdu sur des erreurs individuelles et le manque une nouvelle fois criant d'un grand attaquant. L'OM a fait jeu égal avec les Laziali dans son 3-5-2 inédit (voir ci-dessous) mais ont considérablement peiné à se créer des occasions et, qui plus est, à les convertir.
C'est au mental que cela s'est joué, à l'instar de Lyon mercredi soir, qui a concédé le nul dans les dernières minutes. L'OM, pourtant bien en place, s'est fait avoir juste avant la pause sur des erreurs de Caleta-Car et Pelé (1-0, 46e) et a été chahuté dès le début de seconde période, concédant un deuxième but sur une passe lumineuse d'Immobile entre les jambes d'un Rami trop attentiste. A la réception, Correa trompait le portier olympien (2-0, 55e). Le break était déjà fait grâce au réalisme spectaculaire des Italiens (cinq tirs, quatre cadrés), dont leurs adversaires auraient bien fait de s'inspirer (quatorze tirs, cinq cadrés). Les Marseillais ont profité d'une erreur du premier buteur laziale, Parolo, pour inscrire leur seul but de la rencontre grâce à Thauvin (2-1, 60e). Dès lors, la Lazio a tangué, mais n'a jamais chuté. Et c'est peut-être la grande différence entre les deux formations, au détriment de Rudi Garcia et des siens...
C'est au mental que cela s'est joué, à l'instar de Lyon mercredi soir, qui a concédé le nul dans les dernières minutes. L'OM, pourtant bien en place, s'est fait avoir juste avant la pause sur des erreurs de Caleta-Car et Pelé (1-0, 46e) et a été chahuté dès le début de seconde période, concédant un deuxième but sur une passe lumineuse d'Immobile entre les jambes d'un Rami trop attentiste. A la réception, Correa trompait le portier olympien (2-0, 55e). Le break était déjà fait grâce au réalisme spectaculaire des Italiens (cinq tirs, quatre cadrés), dont leurs adversaires auraient bien fait de s'inspirer (quatorze tirs, cinq cadrés). Les Marseillais ont profité d'une erreur du premier buteur laziale, Parolo, pour inscrire leur seul but de la rencontre grâce à Thauvin (2-1, 60e). Dès lors, la Lazio a tangué, mais n'a jamais chuté. Et c'est peut-être la grande différence entre les deux formations, au détriment de Rudi Garcia et des siens...
Autres articles
-
«Je dois être à la hauteur»: Montassar Talbi, du football de rue aux Aigles de Carthage
-
CAN 2025: Aboubakar, Pépé, Ziyech... les grands absents de la Coupe d'Afrique des nations au Maroc
-
Ça commence sérieusement à chauffer au Paris FC !
-
Liga : Grâce à un doublé de Raphinha, le FC Barcelone s’impose face à Osasuna et garde la tête
-
PL : Chelsea domine Everton, Liverpool dompte Brighton avec un doublé d’Ekitike





«Je dois être à la hauteur»: Montassar Talbi, du football de rue aux Aigles de Carthage


