Dans plusieurs communes de la région de Louga, l’exploitation du zircon par l’entreprise Grande Côte Opérations (GCO) continue de susciter à la fois espoirs et inquiétudes. Face aux critiques exprimées par les populations locales, la société minière affirme avoir renforcé les cadres de concertation avec les communautés afin de définir, de manière concertée, les priorités sociales pour l’année à venir.
L’impact de l’activité minière sur l’environnement et sur les conditions de vie des populations demeure un sujet sensible dans les communes de Tieppe, Darou Khoudoss, Diogo et Géoul. Pour tenter d’apaiser les tensions, GCO met en avant un bilan d’actions communautaires jugé conséquent pour l’année 2025.
Selon Nafissatou Ndiaye, responsable santé, sécurité et sûreté communautaire au sein de l’entreprise, « l’entreprise a organisé près de 48 rencontres avec les commissions de dialogue cette année ». Ces échanges auraient permis de mettre en œuvre « plus de 60 activités de terrain, allant de la sensibilisation à la formation et au renforcement de capacités des acteurs locaux ».
La principale innovation annoncée pour le cycle 2025-2026 concerne la méthode de sélection des projets de Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE). GCO affirme vouloir rompre avec une approche jugée unilatérale pour privilégier une priorisation collective des investissements. « Ce n’est plus seulement GCO qui décide des investissements RSE », a expliqué Nafissatou Ndiaye sur les ondes de la RFM.
Désormais, ce sont les représentants des communautés, à travers les cadres de concertation communaux, qui identifient et hiérarchisent les besoins jugés prioritaires. L’entreprise soutient que cette démarche vise à garantir une meilleure adéquation entre les fonds investis et les réalités des villages affectés par l’exploitation minière.
Malgré ces engagements, les attentes demeurent fortes. Si GCO fait de la RSE un axe central de sa stratégie, les populations locales continuent de réclamer des retombées concrètes, notamment en matière d’accès à l’eau potable, de réhabilitation des terres agricoles et de création d’emplois directs pour les jeunes des localités de la région de Louga.
L’enjeu des cadres de concertation engagés sera donc de traduire les échanges en réalisations visibles, afin que l’exploitation du zircon ne soit plus perçue comme une contrainte, mais comme un levier durable de développement local.
L’impact de l’activité minière sur l’environnement et sur les conditions de vie des populations demeure un sujet sensible dans les communes de Tieppe, Darou Khoudoss, Diogo et Géoul. Pour tenter d’apaiser les tensions, GCO met en avant un bilan d’actions communautaires jugé conséquent pour l’année 2025.
Selon Nafissatou Ndiaye, responsable santé, sécurité et sûreté communautaire au sein de l’entreprise, « l’entreprise a organisé près de 48 rencontres avec les commissions de dialogue cette année ». Ces échanges auraient permis de mettre en œuvre « plus de 60 activités de terrain, allant de la sensibilisation à la formation et au renforcement de capacités des acteurs locaux ».
La principale innovation annoncée pour le cycle 2025-2026 concerne la méthode de sélection des projets de Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE). GCO affirme vouloir rompre avec une approche jugée unilatérale pour privilégier une priorisation collective des investissements. « Ce n’est plus seulement GCO qui décide des investissements RSE », a expliqué Nafissatou Ndiaye sur les ondes de la RFM.
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