«Notre rôle est d’arrêter l’escalade pour éviter au pays d’emprunter la pente dangereuse de la violence. Il y a eu des morts et des blessés. Des biens ont été saccagés. Des familles entières et leurs biens sont ciblés en raison de leur appartenance à tel ou tel camp. Certains, ayant peur pour leur vie, sont entrés en clandestinité. De tous les bords, il y a des extrémistes irréductibles». Ces mots sont de Macky Sall, le président de la Conférences des Chefs d’Etat de la Cedeao. C’était hier, à l’ouverture du Sommet extraordinaire des dirigeants des pays faisant partie de cette instance, à Abuja. Le président de la République du Sénégal voulait leur faire savoir ainsi, l’urgence à prendre des décisions pour décanter la situation.
Se voulant plus précis, Macky Sall déclare : «Je me dois dans ces conditions de vous exprimer ma grave préoccupation. J’alerte solennellement notre Sommet sur la gravité de la situation au Burkina Faso, alors, que notre sous-région est déjà sérieusement éprouvée par d’autres sources d’instabilités. Il y a urgence à agir pendant qu’il est encore temps pour éviter l’impasse et le chaos».
Se voulant plus précis, Macky Sall déclare : «Je me dois dans ces conditions de vous exprimer ma grave préoccupation. J’alerte solennellement notre Sommet sur la gravité de la situation au Burkina Faso, alors, que notre sous-région est déjà sérieusement éprouvée par d’autres sources d’instabilités. Il y a urgence à agir pendant qu’il est encore temps pour éviter l’impasse et le chaos».
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