
Le président Macky Sall qui intervenait à l'ouverture du Sommet de Dakar sur le financement des infrastructures en Afrique, au Centre international Abdou Diouf de Diamniadio, a soutenu que "l'infrastructure est le nerf du développement et également le fil conducteur de l’intégration africaine".
"L'infrastructure est le nerf du développement et également le fil conducteur de l’intégration africaine puisqu’elle soutient l’activité économique et assure la mobilité indispensable au processus de développement", a soutenu le chef de l'Etat sénégalais.
Macky Sall estime que le déficit en infrastructures reste très élevé malgré la disponibilité d’abondantes sources d’énergies qui aident à éclairer le monde.
Plus de 600 millions d’Africains n’ont pas encore accès à l’électricité, a-t-il relevé, soulignant que "c’est un paradoxe". Dans nombre de pays, a-t-il dit, le transport routier et ferroviaire reste encore problématique.
"Il en est de même pour le transport aérien ou pour voyager d’un pays à un autre, on est parfois obligé de sortir du continent pour y revenir" a déploré Sall.
Pour les infrastructures numériques, a-t-il ajouté, "malgré les progrès accomplis, le taux de connexion sur le continent reste encore faible, 36% contre une moyenne mondiale de 62,5%".
Le président rwandais Paul Kagamé et des partenaires au développement et des représentants du secteur privé national et international ont pris part à ce sommet axé sur le thème ‘’Maintenir l’élan vers des infrastructures de classe mondiale en Afrique’’. La rencontre prend fin vendredi.
Avec Aps
"L'infrastructure est le nerf du développement et également le fil conducteur de l’intégration africaine puisqu’elle soutient l’activité économique et assure la mobilité indispensable au processus de développement", a soutenu le chef de l'Etat sénégalais.
Macky Sall estime que le déficit en infrastructures reste très élevé malgré la disponibilité d’abondantes sources d’énergies qui aident à éclairer le monde.
Plus de 600 millions d’Africains n’ont pas encore accès à l’électricité, a-t-il relevé, soulignant que "c’est un paradoxe". Dans nombre de pays, a-t-il dit, le transport routier et ferroviaire reste encore problématique.
"Il en est de même pour le transport aérien ou pour voyager d’un pays à un autre, on est parfois obligé de sortir du continent pour y revenir" a déploré Sall.
Pour les infrastructures numériques, a-t-il ajouté, "malgré les progrès accomplis, le taux de connexion sur le continent reste encore faible, 36% contre une moyenne mondiale de 62,5%".
Le président rwandais Paul Kagamé et des partenaires au développement et des représentants du secteur privé national et international ont pris part à ce sommet axé sur le thème ‘’Maintenir l’élan vers des infrastructures de classe mondiale en Afrique’’. La rencontre prend fin vendredi.
Avec Aps
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