« La rencontre d’aujourd’hui revêt, à mes yeux, une valeur hautement symbolique, en ce qu’elle traduit le respect strict d’une programmation d’activités trimestrielles de suivi de nos interventions.
En attendant que murissent les fruits de la croissance à partager, nous devons tendre la main aux couches de notre population les plus vulnérables. Nous devons en finir avec la grande pauvreté au Sénégal et bâtir un développement solidaire et inclusif. C’est la lecture qu’il faut faire de la Couverture maladie universelle et l’allocation des Bourses familiales qui permettront de secourir à terme 250 000 familles.
Il nous faut donner une claire vision de notre avenir. Celui que nous voulons pour le Sénégal rime avec Croissance, Émergence dans la transparence.
Dès lors, on peut assurément considérer que le développement d’une nouvelle culture administrative de la performance et de la responsabilité passe par la sensibilisation, la formation et peut être à bien d’autres formes à définir. C’est à ce titre que le développement des capacités en gestion axé sur les résultats doit être encouragé, tant au niveau de l’administration centrale que de l’administration territoriale.
Le rythme actuel de progression de notre Produit intérieur brut, d’environ 4%, est non seulement faible, mais croule sous le poids d’une croissance démographique soutenue. Si nous maintenons cette tendance, nous resterons ce Sénégal aux ressources limitées, n’ayant que la pauvreté à partager. Un autre Sénégal est possible, un Sénégal émergent. J’ai décidé d’arracher les racines de cette pauvreté en accélérant la croissance porteuse d’une richesse à partager ».
En attendant que murissent les fruits de la croissance à partager, nous devons tendre la main aux couches de notre population les plus vulnérables. Nous devons en finir avec la grande pauvreté au Sénégal et bâtir un développement solidaire et inclusif. C’est la lecture qu’il faut faire de la Couverture maladie universelle et l’allocation des Bourses familiales qui permettront de secourir à terme 250 000 familles.
Il nous faut donner une claire vision de notre avenir. Celui que nous voulons pour le Sénégal rime avec Croissance, Émergence dans la transparence.
Dès lors, on peut assurément considérer que le développement d’une nouvelle culture administrative de la performance et de la responsabilité passe par la sensibilisation, la formation et peut être à bien d’autres formes à définir. C’est à ce titre que le développement des capacités en gestion axé sur les résultats doit être encouragé, tant au niveau de l’administration centrale que de l’administration territoriale.
Le rythme actuel de progression de notre Produit intérieur brut, d’environ 4%, est non seulement faible, mais croule sous le poids d’une croissance démographique soutenue. Si nous maintenons cette tendance, nous resterons ce Sénégal aux ressources limitées, n’ayant que la pauvreté à partager. Un autre Sénégal est possible, un Sénégal émergent. J’ai décidé d’arracher les racines de cette pauvreté en accélérant la croissance porteuse d’une richesse à partager ».
Autres articles
-
Seydi Gassama : « L’État est le premier récipiendaire des subventions de OSIWA »
-
Diplomatie parlementaire : le président de l'Assemblée nationale du Vietnam accueilli par El Malick à Dakar
-
Baisse des quantités d’engrais à Ndioum Ngainth, affaire Branco : Guy Marius Sagna adresse 12 questions écrites au gouvernement de Sonko
-
Barthélémy Dias exige la libération des détenus politiques et interpelle Reporters sans frontières sur le cas Bachir Fofana
-
Révocation à la mairie de Dakar : Barthélémy Dias conteste l’arrêté préfectoral et appelle la Cour suprême à trancher