De retour d’Accra ou il a été porté à la tête de la CEDEAO par ses pairs pour un mandat d’un an, le président Macky SALL a tenu à mettre les points sur les « i » à propos du débat sur l’envoi de troupes en Arabie Saoudite : «ma décision est prise et elle est irrévocable. Les militaires Sénégalais ne seront pas envoyés au Yémen, mais à l'intérieur du territoire saoudien. Il faut que cela soit clair. Les questions liées à l'armée sont sérieuses. Ce n'est pas dans la presse qu'on en discute. La décision a été prise par celui qui doit la prendre. Le chef suprême des armées a décidé, un point un trait”, a martelé le chef de l'Etat.
Macky Sall rappelle si besoin en était que le Sénégal a une armée professionnelle qui est dans des théâtres de maintien de la paix depuis les indépendances. « Nos soldats ont été au Liban, ils sont au Darfour, au Congo, en Côte d'ivoire, au Mali. Au Mali, dès les premiers moments de la guerre, des militaires français ont été tués et pourtant cela n'avait pas empêché le président français d'envoyer des troupes et cela n'a pas poussé les français à s'attaquer à leur président », fustige-t-il.
Le président Sall en a profité pour égratigner ses opposants : « je trouve vraiment malsain le débat entretenu par des adversaires politiques en manque d’arguments. Je les attendais plus sur un débat économique que sur des slogans creux », enfonce-t-il. Débat clos.
Macky Sall rappelle si besoin en était que le Sénégal a une armée professionnelle qui est dans des théâtres de maintien de la paix depuis les indépendances. « Nos soldats ont été au Liban, ils sont au Darfour, au Congo, en Côte d'ivoire, au Mali. Au Mali, dès les premiers moments de la guerre, des militaires français ont été tués et pourtant cela n'avait pas empêché le président français d'envoyer des troupes et cela n'a pas poussé les français à s'attaquer à leur président », fustige-t-il.
Le président Sall en a profité pour égratigner ses opposants : « je trouve vraiment malsain le débat entretenu par des adversaires politiques en manque d’arguments. Je les attendais plus sur un débat économique que sur des slogans creux », enfonce-t-il. Débat clos.
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