Condamné par la justice du régime actuel, l'ex-président en exil Marc Ravalomanana est concerné par cette loi d'amnistie.
Un ballet diplomatique ininterrompu à l'Hôtel Colbert, hôtel 4 étoiles de la capitale malgache. La troïka (organe de coopération en matière de politique défense et sécurité) de la SADC (la communauté de développement d'Afrique australe), reçoit tour à tour les juristes malgaches, la diplomatie internationale, et enfin les entités politiques. Celles-ci n'arrivent toujours pas à se mettre d'accord, sur les modalités d'adoption et d'application, du projet de loi d'amnistie.
Lalatina Ravololomanana, porte-parole de la mouvance d'opposition Zafy déclare : « Parmi les membres de ce gouvernement d'union nationale ; il y a des gens qui demandent encore l'amnistie ! Le ministre des Affaires étrangères Pierrot Rajaonarivelo condamné à 15 ans de travaux forcés par l'ancien régime, et le ministre de l'Enseignement supérieur, qui lui aussi est condamné. Donc ils ne peuvent pas être juges et partie ! »
Condamné par la justice du régime actuel, l'ancien président en exil Marc Ravalomanana
est concerné par cette loi d'amnistie. Après sa tentative avortée de retour à Madagascar il y a deux mois, la SADC avait fixé une date butoir pour l'adoption d'un projet de loi. Cette date, n'a pas été respectée.
Ce qui amène Mamy Rakotoarivelo, représentant de la mouvance Ravalomanana à dire : « Je crois que nous avons besoin d'une pression de la SADC, même si parfois ça n’aboutit pas à ce que l'on souhaite ».
Les recommandations de la SADC sur le projet de loi d'amnistie sont attendues, ce jeudi 15 mars à la mi journée.
Source: RFI
Lalatina Ravololomanana, porte-parole de la mouvance d'opposition Zafy déclare : « Parmi les membres de ce gouvernement d'union nationale ; il y a des gens qui demandent encore l'amnistie ! Le ministre des Affaires étrangères Pierrot Rajaonarivelo condamné à 15 ans de travaux forcés par l'ancien régime, et le ministre de l'Enseignement supérieur, qui lui aussi est condamné. Donc ils ne peuvent pas être juges et partie ! »
Condamné par la justice du régime actuel, l'ancien président en exil Marc Ravalomanana
est concerné par cette loi d'amnistie. Après sa tentative avortée de retour à Madagascar il y a deux mois, la SADC avait fixé une date butoir pour l'adoption d'un projet de loi. Cette date, n'a pas été respectée.
Ce qui amène Mamy Rakotoarivelo, représentant de la mouvance Ravalomanana à dire : « Je crois que nous avons besoin d'une pression de la SADC, même si parfois ça n’aboutit pas à ce que l'on souhaite ».
Les recommandations de la SADC sur le projet de loi d'amnistie sont attendues, ce jeudi 15 mars à la mi journée.
Source: RFI
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