10 000 soldats pour sécuriser, entre autres, la zone des trois frontières entre le Mali, le Burkina et le Niger. Un effectif qui a été doublé par rapport aux prévisions initiales et « une nécessité », pour le ministre des Affaires étrangères malien, Abdoulaye Diop, tant les missions de cette future force armée sont nombreuses.
« Cette force conjointe vient au Mali et dans l’espace du G5 Sahel pour prendre en charge la lutte contre le terrorisme. Ce qui est nouveau aussi dans le cadre d’une force de cette nature, au niveau du continent africain, c’est qu’elle va également être chargée de lutter contre tous les trafics : le trafic de drogue, le trafic d’êtres humains et tous les autres trafics », a déclaré Abdoulaye Diop.
Deuxième annonce phare de cette rencontre à Bamako, celle des 50 millions d'euros d'aide financière annoncée par l'Union européenne.
« Ce sera une contribution qui va vite arriver et qui, j’espère, montrera la bonne direction aux autres partenaires du G5 Sahel. L’Union européenne est fière d’être la première à soutenir ce projet parce que nous croyons fermement que, dans les faits, il s’agit d’un investissement dans notre propre sécurité », a pour sa part déclaré Féderica Mogherini, représentante de l'Union européenne.
Sur le papier, les contours de cette nouvelle force se dessinent mais on ne sait toujours pas concrètement quels seront les contributions des pays du G5 et comment seront déployées ces troupes.
« Cette force conjointe vient au Mali et dans l’espace du G5 Sahel pour prendre en charge la lutte contre le terrorisme. Ce qui est nouveau aussi dans le cadre d’une force de cette nature, au niveau du continent africain, c’est qu’elle va également être chargée de lutter contre tous les trafics : le trafic de drogue, le trafic d’êtres humains et tous les autres trafics », a déclaré Abdoulaye Diop.
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