Le mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ne ferme pas la porte aux négociations, mais la question de l’autodétermination, revendication principale du mouvement, se retrouvera sur la table.
Pour le porte-parole du mouvement, Moussa Ag Assarid, il faut aller aux négociations sans préalable, et c’est au tour de la table qu’il peut y avoir des concessions.
« Il y a eu un principe qui a été demandé par le médiateur, au nom de la communauté internationale que les différentes parties acceptent de se retrouver autour d'une table de négociations, et le MNLA n'a rien cédé dans ses revendications, le Mali n'a rien cédé dans ses revendications, nous avons accepté d'aller aux négociations. Nous, nous avons dit que c'est autour de la table des négocations que nous allons discuter des revendications du MNLA, et que aujourd'hui, nous souhaitons qu'il y ait une autodétermination. Le MNLA ne sera pas un frein aux négociations. »
La délégation du MNLA se prépare déjà pour le début des négociations. Selon l’un de ses responsables, Le mouvement entend exiger la mise en place d’un tribunal pénal international pour faire la lumière sur les crimes commis au Mali depuis 1960. Côté Ansar Dine, personne n’a souhaité se prononcer sur les exigences préalables de Bamako.
Source: RFI
Pour le porte-parole du mouvement, Moussa Ag Assarid, il faut aller aux négociations sans préalable, et c’est au tour de la table qu’il peut y avoir des concessions.
« Il y a eu un principe qui a été demandé par le médiateur, au nom de la communauté internationale que les différentes parties acceptent de se retrouver autour d'une table de négociations, et le MNLA n'a rien cédé dans ses revendications, le Mali n'a rien cédé dans ses revendications, nous avons accepté d'aller aux négociations. Nous, nous avons dit que c'est autour de la table des négocations que nous allons discuter des revendications du MNLA, et que aujourd'hui, nous souhaitons qu'il y ait une autodétermination. Le MNLA ne sera pas un frein aux négociations. »
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Source: RFI
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