Le document indique qu'à midi ce vendredi, tous les éléments du Mouvement national de l'Azawad (MNLA ) et du Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) devront être casernés sur trois sites : deux à Kidal, un en périphérie. Les combattants touaregs ne seront pas autorisés à sortir en ville avec leurs armes qui seront sous la garde de la Minusma et de la force Serval.
A partir d'aujourd'hui, vendredi, plus aucun combattant ne devra également tenir de check point. Les sept points d'entrée de la ville de Kidal passeront sous le contrôle des forces onusiennes. Hier, jeudi, les touaregs en controlaient encore quatre.
Des renforts béninois et guinéens
En théorie, le déploiement de l'armée pourrait donc démarrer dès ce 5 juillet, mais il reste de nombreux arrangements sécuritaires à peaufiner pour réussir le processus de normalisation dans la ville de Kidal. Dans ce premier document, aucune indication ne figure concernant la présence des forces de sécurité maliennes et leur perimètre d'intervention. La cohabitation entre adversaires, pour ne pas dire ennemis, ne sera pas simple.
C'est la raison pour laquelle les partenaires internationaux du Mali vont agir pour éviter toute provocation d'un camp ou de l'autre. Hier, une section guinéenne composée d'une trentaine de vehicules est arrivée à Kidal. Aujourd'hui, ce devrait être une compagnie pour renforcer le contingent béninois de la MInusma. Le temps presse pour créer un environnement securisé qui permettra, après le retour des militaires, celui de l'administration, maillon indispensable pour la tenue de l'élection présidentielle à Kidal.
Source: RFI
A partir d'aujourd'hui, vendredi, plus aucun combattant ne devra également tenir de check point. Les sept points d'entrée de la ville de Kidal passeront sous le contrôle des forces onusiennes. Hier, jeudi, les touaregs en controlaient encore quatre.
Des renforts béninois et guinéens
En théorie, le déploiement de l'armée pourrait donc démarrer dès ce 5 juillet, mais il reste de nombreux arrangements sécuritaires à peaufiner pour réussir le processus de normalisation dans la ville de Kidal. Dans ce premier document, aucune indication ne figure concernant la présence des forces de sécurité maliennes et leur perimètre d'intervention. La cohabitation entre adversaires, pour ne pas dire ennemis, ne sera pas simple.
C'est la raison pour laquelle les partenaires internationaux du Mali vont agir pour éviter toute provocation d'un camp ou de l'autre. Hier, une section guinéenne composée d'une trentaine de vehicules est arrivée à Kidal. Aujourd'hui, ce devrait être une compagnie pour renforcer le contingent béninois de la MInusma. Le temps presse pour créer un environnement securisé qui permettra, après le retour des militaires, celui de l'administration, maillon indispensable pour la tenue de l'élection présidentielle à Kidal.
Source: RFI
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