C'est la plus grosse attaque sur Kidal de l'année. Ou plutôt les plus grosses attaques. Les Nations unies confirment avoir essuyé quatre assauts simultanés sur plusieurs positions tenues par des casques bleus. Les affrontements ont éclaté ce vendredi soir aux alentours de 20 h.
Des habitants joints par RFI expliquent que les combats ont duré plus d'une heure. Les assaillants ont tenté de prendre le contrôle de deux checkpoints avancés, à différentes entrées de la ville, où ils se sont heurtés à une réponse musclée des casques bleus. Une position au niveau du camp principal de l'ONU dans la ville a également été la cible de tirs, ainsi qu'une patrouille de soldats de la paix.
A chaque fois, les militaires ont réussi à repousser les assaillants qui sont venus lourdement armés, à bord de pick-ups et de motos. La plupart ont réussi à prendre la fuite. C'est la première fois que quatre attaques coordonnées se déroulent en même temps. L'objectif était clairement de disperser les forces de l'ONU.
D'importants moyens aériens, des hélicoptères, ont été déployés sur la zone par l'ONU. Les soldats français de Barkhane ont également appuyé les casques bleus, notamment en faisant usage de mortiers éclairants, pour faciliter, entre autre, les opérations de recherches d'éventuels assaillants toujours présents sur le terrain.
Des habitants joints par RFI expliquent que les combats ont duré plus d'une heure. Les assaillants ont tenté de prendre le contrôle de deux checkpoints avancés, à différentes entrées de la ville, où ils se sont heurtés à une réponse musclée des casques bleus. Une position au niveau du camp principal de l'ONU dans la ville a également été la cible de tirs, ainsi qu'une patrouille de soldats de la paix.
A chaque fois, les militaires ont réussi à repousser les assaillants qui sont venus lourdement armés, à bord de pick-ups et de motos. La plupart ont réussi à prendre la fuite. C'est la première fois que quatre attaques coordonnées se déroulent en même temps. L'objectif était clairement de disperser les forces de l'ONU.
D'importants moyens aériens, des hélicoptères, ont été déployés sur la zone par l'ONU. Les soldats français de Barkhane ont également appuyé les casques bleus, notamment en faisant usage de mortiers éclairants, pour faciliter, entre autre, les opérations de recherches d'éventuels assaillants toujours présents sur le terrain.
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