Devant les militants venus nombreux au palais de la Culture, le Cadre d’échange des partis politiques pour la réussite de la transition a dénoncé la mauvaise volonté du gouvernement dans l’organisation des élections générales.
« Pour nous, il n’y a pas d’organisation d’élections pour le moment. Pour le moment, absolument rien n’a été fait dans ce sens, nous explique Housseini Amion Guindo, président du cadre et président du parti Convergence pour le développement au Mali (Codem). Il faut régler les problèmes avec la Communauté internationale. Et ce problème avec la Communauté internationale est lié à la démocratie. Est lié au retour à l’ordre constitutionnel. Est lié au pouvoir du peuple, à la légitimation du pouvoir au Mali, par un vote populaire… »
Selon Boubacar Traoré, membre du directoire du Cadre d’échange, la Cédéao doit soutenir le Mali sur le schéma tracé par le peuple. « Depuis le départ, nous avons toujours demandé à l’ensemble des chefs d’État qui composent la Cédéao, d’accompagner et de soutenir le Mali, mais (sur la base de) la proposition faite par les Maliens. Les Maliens ont proposé de faire une transition de dix-huit mois, on va leur demander encore de nous soutenir, de nous accompagner dans cela ».
Non aux assises nationales et non à la prolongation de la durée de la transition au Mali : tels sont, entre autres, les messages que l’on pouvait lire sur les banderoles, dans la salle du Palais de la Culture.
Un sommet extraordinaire de la Cédéao consacré à la situation au Mali et en Guinée s'ouvre ce dimanche 7 novembre à Accra.
« Pour nous, il n’y a pas d’organisation d’élections pour le moment. Pour le moment, absolument rien n’a été fait dans ce sens, nous explique Housseini Amion Guindo, président du cadre et président du parti Convergence pour le développement au Mali (Codem). Il faut régler les problèmes avec la Communauté internationale. Et ce problème avec la Communauté internationale est lié à la démocratie. Est lié au retour à l’ordre constitutionnel. Est lié au pouvoir du peuple, à la légitimation du pouvoir au Mali, par un vote populaire… »
Selon Boubacar Traoré, membre du directoire du Cadre d’échange, la Cédéao doit soutenir le Mali sur le schéma tracé par le peuple. « Depuis le départ, nous avons toujours demandé à l’ensemble des chefs d’État qui composent la Cédéao, d’accompagner et de soutenir le Mali, mais (sur la base de) la proposition faite par les Maliens. Les Maliens ont proposé de faire une transition de dix-huit mois, on va leur demander encore de nous soutenir, de nous accompagner dans cela ».
Non aux assises nationales et non à la prolongation de la durée de la transition au Mali : tels sont, entre autres, les messages que l’on pouvait lire sur les banderoles, dans la salle du Palais de la Culture.
Un sommet extraordinaire de la Cédéao consacré à la situation au Mali et en Guinée s'ouvre ce dimanche 7 novembre à Accra.
Autres articles
-
Niger: les nouvelles autorités annoncent la fin de deux missions de l’Union européenne
-
Russie: Moscou prépare un «corps militaire africain» pour prendre la suite de Wagner
-
Max du Preez, journaliste: «Mandela a éloigné la menace de la plus sanglante des guerres civiles d’Afrique»
-
Mauritanie: l’ancien président Ould Abdel Aziz condamné à cinq ans de prison ferme
-
Le vice-ministre russe de la Défense au Niger pour renforcer la coopération militaire