Parmi les signataires de la déclaration, on retrouve des poids lourds de la classe politique malienne comme l’Alliance pour la démocratie au Mali (l’Adéma), des formations ou mouvements d’anciens Premiers ministres, des regroupements politique et des associations.
Tous veulent une transition politique réussie. Et pour y parvenir, ils exigent le respect de la période de la transition, pas un jour de plus, comme Moussa Mara, ancien Premier ministre et porte-parole de la coalition. « Nous affirmons sans ambiguïté notre attachement au respect scrupuleux de la période de la transition et donc de la date retenue pour les prochaines élections générales, présidentielles et législatives, à savoir le 27 février 2022. Nous demandons aux autorités de la transition de confirmer leur engagement à respecter ces échéances ».
Poussant un peu la pression, les signataires de la déclaration demandent aux autorités maliennes de rendre public un chronogramme des tâches à accomplir devant conduire jusqu’au jour des élections.
Cette sortie d’une importante frange de la classe politique malienne intervient au moment le respect ou non de la période de la transition devient de plus en plus un débat inévitable.
Tous veulent une transition politique réussie. Et pour y parvenir, ils exigent le respect de la période de la transition, pas un jour de plus, comme Moussa Mara, ancien Premier ministre et porte-parole de la coalition. « Nous affirmons sans ambiguïté notre attachement au respect scrupuleux de la période de la transition et donc de la date retenue pour les prochaines élections générales, présidentielles et législatives, à savoir le 27 février 2022. Nous demandons aux autorités de la transition de confirmer leur engagement à respecter ces échéances ».
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