
Un drame familial a secoué le quartier Palène à Mbacké lorsqu'une violente altercation a dégénéré en agression chimique. Mame Say, une habitante de la localité, a subi de graves brûlures au visage après avoir été aspergée d'un liquide corrosif par Mme Faye, la sœur cadette de son mari.
L'incident se serait produit en plein jour dans un contexte de tensions familiales non élucidées. Selon plusieurs témoins recueillis par Dakaractu, l'agresseur aurait utilisé de la soude caustique - substance hautement corrosive employée dans la fabrication artisanale de savon. La victime, en état de choc, a été prise en charge en urgence au dispensaire de Mbacké avant d'être transférée vers un établissement hospitalier spécialisé à Touba.
Les forces de l'ordre ont lancé une enquête pour "tentative d'homicide volontaire" et traquent activement Mme Faye, qui aurait pris la fuite immédiatement après son geste.
Les autorités locales déplorent la récurrence de ce type d'agressions chimiques, particulièrement traumatisantes et aux conséquences irréversibles.
Cette attaque s'inscrit malheureusement dans une série de violences chimiques principalement dirigées contre des femmes au Sénégal, souvent dans le cadre de conflits familiaux ou conjugaux. Les spécialistes alertent sur l'urgence de mesures préventives et répressives pour endiguer ce phénomène destructeur.
L'incident se serait produit en plein jour dans un contexte de tensions familiales non élucidées. Selon plusieurs témoins recueillis par Dakaractu, l'agresseur aurait utilisé de la soude caustique - substance hautement corrosive employée dans la fabrication artisanale de savon. La victime, en état de choc, a été prise en charge en urgence au dispensaire de Mbacké avant d'être transférée vers un établissement hospitalier spécialisé à Touba.
Les forces de l'ordre ont lancé une enquête pour "tentative d'homicide volontaire" et traquent activement Mme Faye, qui aurait pris la fuite immédiatement après son geste.
Les autorités locales déplorent la récurrence de ce type d'agressions chimiques, particulièrement traumatisantes et aux conséquences irréversibles.
Cette attaque s'inscrit malheureusement dans une série de violences chimiques principalement dirigées contre des femmes au Sénégal, souvent dans le cadre de conflits familiaux ou conjugaux. Les spécialistes alertent sur l'urgence de mesures préventives et répressives pour endiguer ce phénomène destructeur.
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