Ce sit in ayant réuni hommes et femmes venus de plusieurs villages de la commune, n’est que selon ces protestataires, le début d’une bataille qui peut aller loin. «Je voudrais dire que cette bataille ne fait que commencer, c’est le début d’une longue bataille qui peut aller jusqu’au conseil d’Etat. Nous sommes prêts à tout parce que ce bradage des terres doit cesser, trop, c’est trop et nous l’avons dit et nous sommes prêts à aller jusqu’au bout », fulmine Samba Ndiaye, un porte-parole.
«Nous voudrions que la population surtout que le monde tout entier nous entende. Ils ont pris un délibéré au profit d’une seule personne, 36, 5 hectares. Il y a ce qu’on appelle la majorité mécanique, c’est vraiment dommage…», assène Dame Niang, un autre porte-parole.
Pour eux, "il n’y pas de raison qui peut justifier que 36,5 hectares soient donnés à une personne fût-il un marabout".
«Nous voudrions que la population surtout que le monde tout entier nous entende. Ils ont pris un délibéré au profit d’une seule personne, 36, 5 hectares. Il y a ce qu’on appelle la majorité mécanique, c’est vraiment dommage…», assène Dame Niang, un autre porte-parole.
Pour eux, "il n’y pas de raison qui peut justifier que 36,5 hectares soient donnés à une personne fût-il un marabout".
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