Hier face à la presse, l’avocat, ancien socialiste et ministre de la justice, a surtout pointé un doigt accusateur sur l’ancien régime. Pour Me Ndoye, le problème ce n’est pas Cheikh Tidiane Diakhaté mais la juridiction en tant que telle, « la solution n’est pas de récuser Cheikh Diakhaté. Il pense qu’il faut plutôt casser le Conseil constitutionnel et créer une nouvelle institution avec de nouvelles prérogatives, mais également nommer les membres du Conseil de façon équitable et démocratique ».
Et c’est le Ps qui est à l’origine d’une telle situation. « L’actuelle institution judiciaire a été créée en 1992 par le président Abdou Diouf. Il s’était donné le droit de nommer des magistrats qui jugeaient des chiens enragés, le président Abdoulaye Wade n a pas changé une virgule de l’actuel Conseil constitutionnel. Il en profite tout simplement ».
Mais pour Me Aïssata Tall Sall sur les ondes de la RFM, « Me Doudou Ndoye, est entrain de faire un procès en sorcellerie au parti socialiste. Mais surtout de la diversion autour d’une question cruciale qui ne peut pas être liée à ce que le Président Diouf avait fait à l’époque ».
La chargée de la communication s’en est aussi prise à Me Doudou Ndoye qu’elle considère « comme un transhumant qui s’est perdu dans son chemin et dans des contradictions », elle l’invite d’ailleurs s’il est indépendant du PDS comme il le dit d’engager avec le Ps la procédure de récusation du magistrat Diakhaté.
Et c’est le Ps qui est à l’origine d’une telle situation. « L’actuelle institution judiciaire a été créée en 1992 par le président Abdou Diouf. Il s’était donné le droit de nommer des magistrats qui jugeaient des chiens enragés, le président Abdoulaye Wade n a pas changé une virgule de l’actuel Conseil constitutionnel. Il en profite tout simplement ».
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