Me El Hadji Diouf est monté au créneau pour réagir suite au communiqué de l’Administration pénitentiaire sur l’affaire Assane Diouf. Selon l’avocat, l’administration pénitentiaire s’est bien gardée de dire toute la vérité concernant son client.
« J’ai fait face à la presse aujourd’hui pour mettre à nu les mensonges grotesques de l’Administration pénitentiaire. Il cherche à tromper l’opinion. Assane, pour avoir dit, bonjour à un codétenu, a été interpellé par un garde pénitentiaire qui lui a dit, vous n’avez pas le droit d’ouvrir la bouche. Vous êtes interdit de parole. D’ailleurs, vous allez retourner dans votre cellule. Assane à dit non, c’est là que ce dernier est allé appeler d’autres gardes qui l’ont torturé jusqu'à ce que fracture s’en suit. Et le communiqué mensonger qui a été diffusé, s’est abstenu de parler de fracture », dénonce Me El Hadji Diouf.
Pire, tonne l’avocat, « il y a 6 mois qu'Assane Diouf est renvoyé devant le Tribunal correctionnel. Et le Tribunal correctionnel avait 2 mois pour enrôler le dossier. 4 mois de plus de détention pour Assane Diouf ».
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Au début, il a été arrêté et placé sous mandat de dépôt et interdit de visite pendant 4 mois. Aucun membre de sa famille n’avait le droit de lui rendre visite. Sa femme a même quitté les Etats Unis, tenu un point de presse pour dire qu’on me refuse de voir mon mari. Alors qu’il n’est pas suivi sur la base de plainte. Il n’y a aucune plainte civile dans ce dossier ».
Pour la robe noire, « on sait que si on le présente au tribunal, il viendra handicapé. Ils ne veulent pas montrer ces images qui prouvent la torture à la prison. C’est la raison pour laquelle ils ont des problèmes pour juger Assane. Ou bien, ils veulent le prendre comme un otage. Nous exigeons qu’il soit jugé. Et, s’il est jugé, il sera immédiatement relaxé. Il n’a rien fait ».
« J’ai fait face à la presse aujourd’hui pour mettre à nu les mensonges grotesques de l’Administration pénitentiaire. Il cherche à tromper l’opinion. Assane, pour avoir dit, bonjour à un codétenu, a été interpellé par un garde pénitentiaire qui lui a dit, vous n’avez pas le droit d’ouvrir la bouche. Vous êtes interdit de parole. D’ailleurs, vous allez retourner dans votre cellule. Assane à dit non, c’est là que ce dernier est allé appeler d’autres gardes qui l’ont torturé jusqu'à ce que fracture s’en suit. Et le communiqué mensonger qui a été diffusé, s’est abstenu de parler de fracture », dénonce Me El Hadji Diouf.
Pire, tonne l’avocat, « il y a 6 mois qu'Assane Diouf est renvoyé devant le Tribunal correctionnel. Et le Tribunal correctionnel avait 2 mois pour enrôler le dossier. 4 mois de plus de détention pour Assane Diouf ».
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Au début, il a été arrêté et placé sous mandat de dépôt et interdit de visite pendant 4 mois. Aucun membre de sa famille n’avait le droit de lui rendre visite. Sa femme a même quitté les Etats Unis, tenu un point de presse pour dire qu’on me refuse de voir mon mari. Alors qu’il n’est pas suivi sur la base de plainte. Il n’y a aucune plainte civile dans ce dossier ».
Pour la robe noire, « on sait que si on le présente au tribunal, il viendra handicapé. Ils ne veulent pas montrer ces images qui prouvent la torture à la prison. C’est la raison pour laquelle ils ont des problèmes pour juger Assane. Ou bien, ils veulent le prendre comme un otage. Nous exigeons qu’il soit jugé. Et, s’il est jugé, il sera immédiatement relaxé. Il n’a rien fait ».
Autres articles
-
Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière
-
Tivaouane : Seydi Gassama invite "l’Etat à arrêter les démolitions d’habitations" pouvant créer 500 sans abris
-
"Des milliards perdus, des promesses non tenues, incompétence", Ameth Diallo liste les gaffes de..
-
Saint-Louis : 96 migrants secourus au large par la Marine nationale
-
Kolda : 50 enfants bénéficient d’un camp de chirurgie pédiatrique au centre hospitalier régional





Bras de fer Médias-État : l'Appel envisage d’ester en justice pour réparation financière


