Le président Macky Sall s’oppose à l’autorisation de la marche de l’opposition. Selon lui, l’autorisation ne tient pas de lui mais plutôt du ministère de l’Intérieur et de ses services. « À la veille d’un sommet qui accueille plus de 50 chefs d’État, il n’est pas possible de gérer des manifestations politiciennes surtout qu’il y a des questions de terrorismes qui n’échappent à aucun État fut-il le plus importants », oppose le Chef de l’État au rassemblement prévu par le parti démocratique Sénégalais (PDS).
Le président Macky Sall met en garde, « au nom de la liberté de manifester, je ne laisserai personne perturber ce sommet. Il s’agit de créer des conditions optimales de sécurité » lance le chef de l’État sans doute une manière de dire au ministre Abdoulaye Daouda Diallo de s’opposer au meeting du PDS.
Selon le locataire du Palais, le gouvernement ne peut pas concentrer tous ses efforts à faire du maintien de la paix à quelques jours du sommet de la francophonie. Du coté du Pds, l’histoire est loin de s’arrêter là. Ils ont fait référence à ce qui s’est passé au Burkina au cas où l’État serait tenté d’empêcher leur manifestation.
Mais, le chef de l’état qui semble suivre de près les positions des différentes parties soutient n’y voir que de l’utopie. « Penser que ce qui s’est passé au Burkina peut se produire au Sénégal est un rêve. Ils doivent nous comprendre et placer l’intérêt national au-dessus de tout. A la fin du sommet, ils peuvent manifester », assure le chef de l’État Macky Sall.
« Même, s’ils veulent, on leur aménage un grand boulevard à Diamniadio » ironise le chef de l’État. Ces propos ont été tenus lors d’un déjeuner avec les éditeurs et responsables des médias autour de la "Table de la presse" qui se veut un cadre d’échanges qui permet aux invités de s’exprimer sur des sujets d’actualité avec des membres de la presse nationale.
Le président Macky Sall met en garde, « au nom de la liberté de manifester, je ne laisserai personne perturber ce sommet. Il s’agit de créer des conditions optimales de sécurité » lance le chef de l’État sans doute une manière de dire au ministre Abdoulaye Daouda Diallo de s’opposer au meeting du PDS.
Selon le locataire du Palais, le gouvernement ne peut pas concentrer tous ses efforts à faire du maintien de la paix à quelques jours du sommet de la francophonie. Du coté du Pds, l’histoire est loin de s’arrêter là. Ils ont fait référence à ce qui s’est passé au Burkina au cas où l’État serait tenté d’empêcher leur manifestation.
Mais, le chef de l’état qui semble suivre de près les positions des différentes parties soutient n’y voir que de l’utopie. « Penser que ce qui s’est passé au Burkina peut se produire au Sénégal est un rêve. Ils doivent nous comprendre et placer l’intérêt national au-dessus de tout. A la fin du sommet, ils peuvent manifester », assure le chef de l’État Macky Sall.
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