Communément appelées engins de la mort, hormis les armes qui font beaucoup de morts, les mines anti personnel ne cessent de causer des dégâts au sein de la population. Selon les révélations de l’ASVM, la majeure partie des personnes handicapées en Casamance sont des victimes de mines. D'où la nécessité pour le porte-parole de ladite association de redémarrer le déminage des zones polluées dans le département de Bignona ou le besoin se fait sentir. "Le Nord Sindia est la zone qui abrite un nombre important de mines anti personnel, très souvent des personnes à la recherche de bois mort dans la forêt sautent sur des mines. C'est une localité très polluée par la présence de ces engins de la mort", explique Mamady Gassama.
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«L’Etat du Sénégal doit faire du déminage, l’une de ses priorités. Les mines sont en train de faire des ravages dans le Nord Sindia, surtout au sein de la gent masculine.la plupart de ces handicapés sont des jeunes âgés de moins de vingt ans. Aujourd’hui, il urge pour le gouvernement de reprendre les activités de déminage en partenariat avec les handicapés et d’autres bailleurs», plaide l'ASVM dans "l'As". Le président de l’association des victimes de mines a par ailleurs souligné que ces victimes bénéficient rarement d’aides de la part du gouvernement sénégalais d’autant plus que beaucoup de ses personnes qui souffrent d’handicap vivent dans la précarité. «Ils finissent dans la mendicité car ils n’ont pas de soutien et d’autres sont marginalisés dans leur propre familles» fustige Sarany Diatta.
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«L’Etat du Sénégal doit faire du déminage, l’une de ses priorités. Les mines sont en train de faire des ravages dans le Nord Sindia, surtout au sein de la gent masculine.la plupart de ces handicapés sont des jeunes âgés de moins de vingt ans. Aujourd’hui, il urge pour le gouvernement de reprendre les activités de déminage en partenariat avec les handicapés et d’autres bailleurs», plaide l'ASVM dans "l'As". Le président de l’association des victimes de mines a par ailleurs souligné que ces victimes bénéficient rarement d’aides de la part du gouvernement sénégalais d’autant plus que beaucoup de ses personnes qui souffrent d’handicap vivent dans la précarité. «Ils finissent dans la mendicité car ils n’ont pas de soutien et d’autres sont marginalisés dans leur propre familles» fustige Sarany Diatta.
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