Les résultats de l’autopsie faite sur le corps sans vie de Baba Ka alias Amadel, le présumé meurtrier de l’Américain Mouhamed Cissé, sont tombés. Le jeune caïd de 26 ans, serait mort des suites d’un traumatisme crânien.
En effet, ces résultats confortent la thèse avancée par la prison de Louga faisant que la victime avait lourdement chuté et se serait cogné la tête contre les carreaux au cours d'une tentative d'évasion.
Selon des sources de L’Observateur, l’autopsie demandée par le Procureur de Louga a été faite le jour même du drame. Le journal révèle que les gardes pénitentiaires qui assuraient la garde ce jour-là ont été entendus.
La même source souligne que les limiers, très décidés à éclaircir toutes les zones d’ombres entourant cette affaire, pourraient également extraire de prison les codétenus du défunt pour les entendre eux aussi sur les faits.
Des sources qui se sont confiées à L’Observateur ont informé que le défunt se plaisait de narguer les gardes pénitentiaires. Il les défiait en ces termes : « Vous ne pouvez rien contre moi. Je n’ai pas peur de vous. J’ai été arrêté par quatre commandants de la gendarmerie et ils m’ont surpris, car je ne détenais pas mon fusil de calibre 12 millimètres ».
Baba Kâ alias Amadel est le présumé meurtrier du jeune Américain Mouhamed Cissé, tué au courant de janvier 2020 chez lui à Médina Baye ( Kaolack) et de l’agent de renseignement de la gendarmerie de Ndindy ( Diourebl).
En effet, ces résultats confortent la thèse avancée par la prison de Louga faisant que la victime avait lourdement chuté et se serait cogné la tête contre les carreaux au cours d'une tentative d'évasion.
Selon des sources de L’Observateur, l’autopsie demandée par le Procureur de Louga a été faite le jour même du drame. Le journal révèle que les gardes pénitentiaires qui assuraient la garde ce jour-là ont été entendus.
La même source souligne que les limiers, très décidés à éclaircir toutes les zones d’ombres entourant cette affaire, pourraient également extraire de prison les codétenus du défunt pour les entendre eux aussi sur les faits.
Des sources qui se sont confiées à L’Observateur ont informé que le défunt se plaisait de narguer les gardes pénitentiaires. Il les défiait en ces termes : « Vous ne pouvez rien contre moi. Je n’ai pas peur de vous. J’ai été arrêté par quatre commandants de la gendarmerie et ils m’ont surpris, car je ne détenais pas mon fusil de calibre 12 millimètres ».
Baba Kâ alias Amadel est le présumé meurtrier du jeune Américain Mouhamed Cissé, tué au courant de janvier 2020 chez lui à Médina Baye ( Kaolack) et de l’agent de renseignement de la gendarmerie de Ndindy ( Diourebl).
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