Selon le maire, les projets vont démarrer ce vendredi avec une opération coup de point qui durera trois (3) jours. Et ils seront en collaboration avec la ville de Dakar, l’UCG (Unité de Coordination de la Gestion des déchets solides) et d’autres partenaires.
Un programme qui est parti de la volonté des sicapois qui souhaitent «voir leur localité comme avant» c'est-à-dire «un endroit où il faisait bon vivre et où les populations étaient fières de leur environnement physique mais aussi de leur environnement mental. C’était un quartier de cadre, de gens bien éduqués, et de pratiques saines dans un environnement préservé», déclare Santi Agne.
Pour lui, «aujourd’hui, force est de constater qu’il y a une très forte dégradation de l’environnement. Une situation qui suscite de nombreuses questions telles que "qui est à l’origine ?"». La réponse est simple d’après le maire, qui soutient que «c’est nous, les sicapois qui en sommes responsables soit parce que, nous avons, de manière virtuelle ou réelle, dégradé notre environnement, soit nous avons laissé faire».
«Donc si c’est nous les responsables et que nous voulons changer notre cadre de vie, alors il faudrait l’action de tous», lance-t-il. Très déterminé, le maire a présenté, par la même occasion, deux (2) projets majeurs, dont l’un est le désencombrement et l’autre qui consistera à l’aménagement pour un nouveau Sicap.
Un programme qui est parti de la volonté des sicapois qui souhaitent «voir leur localité comme avant» c'est-à-dire «un endroit où il faisait bon vivre et où les populations étaient fières de leur environnement physique mais aussi de leur environnement mental. C’était un quartier de cadre, de gens bien éduqués, et de pratiques saines dans un environnement préservé», déclare Santi Agne.
Pour lui, «aujourd’hui, force est de constater qu’il y a une très forte dégradation de l’environnement. Une situation qui suscite de nombreuses questions telles que "qui est à l’origine ?"». La réponse est simple d’après le maire, qui soutient que «c’est nous, les sicapois qui en sommes responsables soit parce que, nous avons, de manière virtuelle ou réelle, dégradé notre environnement, soit nous avons laissé faire».
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