Ce serait un scandale au ministère de la Fonction publique si les accusations de Bara Ndiaye de la Convergence des Jeunesses républicaines (COJER) sont avérées. Notre confrère jure la main sur le cœur que le ministre de la Fonction publique, Mansour Sy, tout comme le directeur général font dans le népotisme dans les derniers recrutements dans la Fonction publique et chez les enseignants.
Ces derniers, dénonce Bara Ndiaye, « ont honteusement tripatouillé les listes établies de manière transparente » par la commission nationale de recrutement pour y glisser des membres du parti et de la famille. A cet effet, il souffle à nos confrères de « L’as » que le directeur général de la Fonction publique a recruté son homonyme et le ministre à son tour, a recruté son beau frère.
Le membre du COJER qui fait preuve de courage révèle que « la déloyauté dans un compagnonnage commence dès lors qu’une partie croit devoir systématiquement profiter de la situation. Ma conviction est que certains de nos alliés pensent pouvoir se faire une nouvelle santé politique dans la gestion du pouvoir. Si à l’APR, la partie est au dessus de toute autre considération, chez d’autres, tel n’est pas le cas ».
Outre ces accusations faites à l’endroit du ministre Mansour Sy (un allié du PIT), Bara Ndiaye indique par ailleurs que le ministre de l’Education, Serigne Mbaye Thiam (PS) n’a pas compris que la rupture c’est aussi la fin des quotas politiques ou du cabinet. Il révèle aussi qu’à la direction des bourses, les mêmes dérives sont notées.
Ces derniers, dénonce Bara Ndiaye, « ont honteusement tripatouillé les listes établies de manière transparente » par la commission nationale de recrutement pour y glisser des membres du parti et de la famille. A cet effet, il souffle à nos confrères de « L’as » que le directeur général de la Fonction publique a recruté son homonyme et le ministre à son tour, a recruté son beau frère.
Le membre du COJER qui fait preuve de courage révèle que « la déloyauté dans un compagnonnage commence dès lors qu’une partie croit devoir systématiquement profiter de la situation. Ma conviction est que certains de nos alliés pensent pouvoir se faire une nouvelle santé politique dans la gestion du pouvoir. Si à l’APR, la partie est au dessus de toute autre considération, chez d’autres, tel n’est pas le cas ».
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