Le calme peut s’expliquer par le fait que beaucoup d’habitants ont dû effectuer le déplacement vers d’autres régions du pays pour s’acquitter de leurs droits civiques.
Entre temps, les médias multiplient les appels au calme.
La paix après les élections est un sujet qui préoccupe beaucoup de Nigérians qui ont déjà vécu des violences post-électorales.
L'armée a promis d'être sans pitié contre tout homme politique qui serait tenté d'orchestrer des violences dans ce processus électoral.
La communauté internationale aussi se dit préoccupée.
Le premier ministre britannique, David Cameron avait invité le président Jonathan à prendre toutes les dispositions pour une bonne tenue de ses élections.
Goodluck Jonathan, le président sortant et Muhamadu Buhari, son principal adversaire, semble se soucier eux aussi de préserver le calme puisqu’ils ont signé cette semaine un accord de paix dans lequel ils se sont engagés à respecter les résultats des urnes, à une condition cependant, que le vote soit libre et transparent.
-
Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»
-
Guerre au Soudan: l'ONU veut organiser des rencontres à Genève avec les belligérants
-
Tanzanie : 2000 personnes tuées lors des récentes violences, selon l'opposition
-
Madagascar: lancement «symbolique» de la concertation nationale, la société civile déçue
-
Mauritanie: six anciens responsables gouvernementaux inculpés pour détournements présumés de fonds publics





Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»


