
Depuis le partenariat entre le Ballon d’Or et la FIFA en 2010, la récompense s’est nourrie de polémiques. L’hégémonie du duo Messi/Ronaldo qui truste les titres sans discontinuer depuis maintenant huit ans a notamment beaucoup fait grincer de dents.
La fin des votes de complaisance
Avec l’ouverture des votes aux sélectionneurs et capitaines d’équipes nationales, les deux tiers des voix étaient sujettes à caution tant les protagonistes avaient tendances à privilégier leurs partenaires de club au détriment de choix supposés plus objectifs.
Cette majorité offerte aux acteurs du football plutôt qu’aux journalistes, prétendus plus indépendants, a changé le résultat de l’élection à deux reprises depuis 2010. Welsey Sneijder en 2010 et Frank Ribéry en 2013 avaient ainsi eu les faveurs des médias sans obtenir la prestigieuse récompense.
Un retour aux sources
Dès cette saison, le système de vote devrait opérer un relooking, faire du neuf avec du vieux. Exit les joueurs et entraîneurs, ce seront de nouveau les médias qui seront seuls décisionnaires. Comme en avant le partenariat avec la FIFA, un panel de journalistes internationaux décidera des 30 finalistes (et non plus 23).
A noter également que tous les finalistes pourront espérer l’emporter puisque l’étape de sélection de trois finalistes a été supprimée. L'officialisation des résultats (vainqueur et classement complet) aura par ailleurs lieu dorénavant avant la fin de l'année civile, alors qu'elle était révélée lors du mois de janvier jusqu'ici.
tf1.fr
La fin des votes de complaisance
Avec l’ouverture des votes aux sélectionneurs et capitaines d’équipes nationales, les deux tiers des voix étaient sujettes à caution tant les protagonistes avaient tendances à privilégier leurs partenaires de club au détriment de choix supposés plus objectifs.
Cette majorité offerte aux acteurs du football plutôt qu’aux journalistes, prétendus plus indépendants, a changé le résultat de l’élection à deux reprises depuis 2010. Welsey Sneijder en 2010 et Frank Ribéry en 2013 avaient ainsi eu les faveurs des médias sans obtenir la prestigieuse récompense.
Un retour aux sources
Dès cette saison, le système de vote devrait opérer un relooking, faire du neuf avec du vieux. Exit les joueurs et entraîneurs, ce seront de nouveau les médias qui seront seuls décisionnaires. Comme en avant le partenariat avec la FIFA, un panel de journalistes internationaux décidera des 30 finalistes (et non plus 23).
A noter également que tous les finalistes pourront espérer l’emporter puisque l’étape de sélection de trois finalistes a été supprimée. L'officialisation des résultats (vainqueur et classement complet) aura par ailleurs lieu dorénavant avant la fin de l'année civile, alors qu'elle était révélée lors du mois de janvier jusqu'ici.
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