El. K, un cultivateur domicilié au village de Aouré (dans la commune de Orkodiérré), a tenté de violer H.O.S, une femme mariée de surcroît enceinte. Cette dernière, pour se défendre, s'est agrippée à ses parties intimes. D’après L’Observateur, les faits se sont produits mercredi passé aux alentours de 14 H.
Le jour des faits, pour satisfaire sa libido, le cultivateur s’est jeté en plein jour sur sa victime enceinte de deux (02) mois. À en croire le journal, le mis en cause l’a étranglé pour la contraindre à coucher avec lui. Prise au dépourvu, celle-ci s’est débattue de toutes ses forces pour s’échapper. Très déterminé EL. K, à entretenir des rapports sexuels avec la femme mariée, il lui a asséné de violents coups de poings.
Malgré la violence des coups reçus, H.O.S s’est agrippée aux parties intimes du cultivateur en criant de toutes ses forces. Elle sera secourue par ses deux enfants qui ont entendu ses cris de détresse. Le cultivateur fut vite maîtrisé. Mis à la disposition des forces de l'ordre de la brigade de gendarmerie de Semme, EL. K, a nié les accusations de la dame.
Pour se défendre, il a soutenu avoir remis la somme de 10 000 Fcfa à H. O. S, pour une partie de jambes en l'air. Des allégations que la plaignante a balayé d'un revers de main. Livrant sa version des faits, elle a confié que l’homme l'a sauvagement violentée pour entretenir des rapports sexuels avec elle.
Au terme de sa garde à vue, EL. K a été déféré, vendredi passé, au parquet de Matam.
Le jour des faits, pour satisfaire sa libido, le cultivateur s’est jeté en plein jour sur sa victime enceinte de deux (02) mois. À en croire le journal, le mis en cause l’a étranglé pour la contraindre à coucher avec lui. Prise au dépourvu, celle-ci s’est débattue de toutes ses forces pour s’échapper. Très déterminé EL. K, à entretenir des rapports sexuels avec la femme mariée, il lui a asséné de violents coups de poings.
Malgré la violence des coups reçus, H.O.S s’est agrippée aux parties intimes du cultivateur en criant de toutes ses forces. Elle sera secourue par ses deux enfants qui ont entendu ses cris de détresse. Le cultivateur fut vite maîtrisé. Mis à la disposition des forces de l'ordre de la brigade de gendarmerie de Semme, EL. K, a nié les accusations de la dame.
Pour se défendre, il a soutenu avoir remis la somme de 10 000 Fcfa à H. O. S, pour une partie de jambes en l'air. Des allégations que la plaignante a balayé d'un revers de main. Livrant sa version des faits, elle a confié que l’homme l'a sauvagement violentée pour entretenir des rapports sexuels avec elle.
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