Le candidat malheureux à la présidentielle sénégalaise du 24 février dernier, Ousmane Sonko, a exprimé vendredi son affection pour les chiens, mais aussi pour Bob Marley, roi du reggae, lors de la publication d’un libre qui retrace son parcours.
« S’il (l’auteur) m’avait approché, j’aurais pu lui parler de mon affection pour Bob Marley et le reggae, quand j’étais jeune. J’aime les chiens, mais ce n’est pas pour les amener à mordre ceux qui sont de l’autre côté (le pouvoir) », marre-t-il.
Selon lui, ce livre écrit par Ababacar Sadikh Diop, journaliste, est utile en ce qu’il permet aux Sénégalais de mieux le connaitre. « Il ne s’agit pas de sublimer un homme, mais de parler de ses actions pour que les citoyens puissent en apprendre quelque chose ».
Ousmane Sonko a révélé n’avoir été informé qu’après la réalisation de ce projet. Une façon pour lui de confirmer que la publication de ce livre n’est pas un « deal ». Il affirme que dans ce pays, c’est difficile pour un journaliste de faire son travail.
« Quand tu parles de quelqu’un, si c’est bien, on te dit que tu as été acheté, si c’est mal, on te dit que tu as été payé. Avec Top, je puis témoigner qu’on n’a jamais eu ce genre de rapport. D’ailleurs, il ne m’a jamais interpellé, même pour valider ou corriger certains aspects, c’est pourquoi le livre est forcément incomplet », dit-il.
« S’il (l’auteur) m’avait approché, j’aurais pu lui parler de mon affection pour Bob Marley et le reggae, quand j’étais jeune. J’aime les chiens, mais ce n’est pas pour les amener à mordre ceux qui sont de l’autre côté (le pouvoir) », marre-t-il.
Selon lui, ce livre écrit par Ababacar Sadikh Diop, journaliste, est utile en ce qu’il permet aux Sénégalais de mieux le connaitre. « Il ne s’agit pas de sublimer un homme, mais de parler de ses actions pour que les citoyens puissent en apprendre quelque chose ».
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