Un délai de 3 semaines avant de dérouler son plan d’actions. C’est l’ultimatum lancé par la Coalition des confédérations syndicales au patronat et au gouvernement pour engager les discussions autour «des revendications légitimes des travailleurs».
Dans un communiqué parcouru par le journal Le Quotidien, la coalition, qui regroupe la Cnts, la Csa, la Cnts/Fc, l’Unsas et l’Udes, renseigne qu’au cours «des échanges», il a été «relevé la disponibilité du patronat à engager les discussions autour des revendications légitimes des travailleurs».
Cependant, renseignent les membres de ces organisations, le patronat «demande un délai de trois semaines pour terminer les consultations internes et attendre des réponses du gouvernement par rapport à la résolution de la dette intérieure et aux mesures d’assouplissement fiscal à prendre pour alléger les charges des entreprises, notamment sur la Cfce».
La Coalition des confédérations syndicales, qui a fait l’évaluation des travaux de la Commission paritaire tenue le 7 mars 2023 au ministère du Travail, en présence des représentants des organisations patronales et des représentants des centrales syndicales les plus représentatives, informe qu’au «cours des échanges, la commission a examiné les trois points de la plateforme revendicative minimale».
Il s’agit de «l’augmentation des salaires catégoriels de l’ordre de 30%, l’augmentation de la prime de transport de 20 800f à 50 000f, en tenant compte du coût du transport et des désagréments causés par les grands travaux de réaménagement routier, enfin la revalorisation du Smig de 17%».
En outre, la coalition précise que «ces principales revendications visent à améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs fortement érodé du fait de la cherté de la vie et des effets néfastes du Covid-19».
Dans un communiqué parcouru par le journal Le Quotidien, la coalition, qui regroupe la Cnts, la Csa, la Cnts/Fc, l’Unsas et l’Udes, renseigne qu’au cours «des échanges», il a été «relevé la disponibilité du patronat à engager les discussions autour des revendications légitimes des travailleurs».
Cependant, renseignent les membres de ces organisations, le patronat «demande un délai de trois semaines pour terminer les consultations internes et attendre des réponses du gouvernement par rapport à la résolution de la dette intérieure et aux mesures d’assouplissement fiscal à prendre pour alléger les charges des entreprises, notamment sur la Cfce».
La Coalition des confédérations syndicales, qui a fait l’évaluation des travaux de la Commission paritaire tenue le 7 mars 2023 au ministère du Travail, en présence des représentants des organisations patronales et des représentants des centrales syndicales les plus représentatives, informe qu’au «cours des échanges, la commission a examiné les trois points de la plateforme revendicative minimale».
Il s’agit de «l’augmentation des salaires catégoriels de l’ordre de 30%, l’augmentation de la prime de transport de 20 800f à 50 000f, en tenant compte du coût du transport et des désagréments causés par les grands travaux de réaménagement routier, enfin la revalorisation du Smig de 17%».
En outre, la coalition précise que «ces principales revendications visent à améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs fortement érodé du fait de la cherté de la vie et des effets néfastes du Covid-19».
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