En conclave ce vendredi 13 septembre, le parti démocratique sénégalais (PDS) s'est penché sur les "nombreux dysfonctionnements et la paralysie qui frappent les organes du parti. Cette rencontre a eu lieu au domicile de Woré SARR, Secrétaire Général Nationale Adjointe chargée des femmes. Après la rencontre, les libéraux ont, à travers un communiqué rendu publique mis l'accent sur les dysfonctionnements suivants :
-Le Secrétariat National ne s’est pas réuni depuis sa mise en place en 2019,
-Le comité directeur ne s’est pas réuni depuis 2019,
⁃ Le Bureau Politique ne s’est pas réuni depuis 2015.
Outre ces griefs, la formation de maître Abdoulaye Wade est revenue sur "les renouvellements qui étaient censés apporter des correctifs et contribuer au renforcement de l’organisation". "Ces renouvellements", soulignent les militantes et militants du PDS, "ont été émaillés, selon plusieurs témoignages, d’abus, d’irrégularités inacceptables, de dysfonctionnements majeurs en violation flagrante des textes qui régissent le fonctionnement du parti. Il s’y ajoute les décisions arbitraires de nomination à des postes électifs et contre des responsables qui ont fini par saper dangereusement les fondements démocratiques du parti".
Selon toujours les mêmes sources, "certaines décisions majeures qui sont prises sans concertation préalable, et qui engagent le parti, n’emportent généralement pas l’adhésion des militants et militantes installant du coup une profonde crise de confiance démobilisatrice et destructrice des principes et règles démocratiques au sein du parti". Le PDS dont la base "est ainsi coupée des réalités et laissée à elle-même dans un contexte de recomposition politique majeure", ont constaté les participants. Ces derniers disent également constater" pour le regretter, une interdiction d’accès à la permanence à une certaine catégorie de militants et militantes taxés fallacieusement et injustement de « frondeurs » ou de « dissidents »".
"Au regard de cette situation, des enjeux politiques et des menaces qui pèsent sur l’avenir du parti démocratique sénégalais, les participants se sont engagés à œuvrer pour un meilleur fonctionnement du parti", peut -on lire sur la note.
Se prononçant sur la dissolution de l'Assemblée nationale
et l’organisation d’élections législatives anticipées, les participants "soulignent avec étonnement, l’impréparation du parti et sa valse dangereuse et éhontée entre la majorité sortante et la nouvelle majorité à la surprise générale des Sénégalais et des militants soucieux de la préservation de la dignité de leur parti". Pour les camarades de Me Abdoulaye Wade, "cette posture dangereuse a fini d’installer un malaise généralisé au sein du parti et chez de nombreux sympathisants".
-Le Secrétariat National ne s’est pas réuni depuis sa mise en place en 2019,
-Le comité directeur ne s’est pas réuni depuis 2019,
⁃ Le Bureau Politique ne s’est pas réuni depuis 2015.
Outre ces griefs, la formation de maître Abdoulaye Wade est revenue sur "les renouvellements qui étaient censés apporter des correctifs et contribuer au renforcement de l’organisation". "Ces renouvellements", soulignent les militantes et militants du PDS, "ont été émaillés, selon plusieurs témoignages, d’abus, d’irrégularités inacceptables, de dysfonctionnements majeurs en violation flagrante des textes qui régissent le fonctionnement du parti. Il s’y ajoute les décisions arbitraires de nomination à des postes électifs et contre des responsables qui ont fini par saper dangereusement les fondements démocratiques du parti".
Selon toujours les mêmes sources, "certaines décisions majeures qui sont prises sans concertation préalable, et qui engagent le parti, n’emportent généralement pas l’adhésion des militants et militantes installant du coup une profonde crise de confiance démobilisatrice et destructrice des principes et règles démocratiques au sein du parti". Le PDS dont la base "est ainsi coupée des réalités et laissée à elle-même dans un contexte de recomposition politique majeure", ont constaté les participants. Ces derniers disent également constater" pour le regretter, une interdiction d’accès à la permanence à une certaine catégorie de militants et militantes taxés fallacieusement et injustement de « frondeurs » ou de « dissidents »".
"Au regard de cette situation, des enjeux politiques et des menaces qui pèsent sur l’avenir du parti démocratique sénégalais, les participants se sont engagés à œuvrer pour un meilleur fonctionnement du parti", peut -on lire sur la note.
Se prononçant sur la dissolution de l'Assemblée nationale
et l’organisation d’élections législatives anticipées, les participants "soulignent avec étonnement, l’impréparation du parti et sa valse dangereuse et éhontée entre la majorité sortante et la nouvelle majorité à la surprise générale des Sénégalais et des militants soucieux de la préservation de la dignité de leur parti". Pour les camarades de Me Abdoulaye Wade, "cette posture dangereuse a fini d’installer un malaise généralisé au sein du parti et chez de nombreux sympathisants".
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