Sidiya Ndiaye et ses camarades de l’intersyndicale des travailleurs des Collectivités locales ont décidé de passer à la vitesse supérieure pour inciter l’Etat à se pencher sur la situation dans la Fonction publique locale. Pour ce, ils ont initié une grève générale de 72 heures qui démarre dès demain mercredi.
En prélude à cette paralysie programmée l’intersyndicale qui était en conférence de presse ce matin, prévoit de déposer à la Préfecture, un mémorandum pour informer le chef de l’Etat sur leur démarche, mais aussi, leur détermination à aller jusqu’au bout de leur logique.
A en croire le syndicaliste, l’Etat ne leur accorde pas d’importance d’autant plus que l’entente qui avait été scellée entre leur mouvement et le gouvernement n’a pas été respectée par ce dernier. Il s’en veut pour preuve la non tenue d’un Conseil interministériel dédié à la question malgré la promesse du Premier ministre.
Ne fermant pas la porte au dialogue, Sidiya Ndiaye et ses camarades se disent cependant déterminés à passer le cap de cette «grève d’avertissement », à une étape supérieure, si jamais Mahammad Boun Abdallah Dionne «ne provoque pas le déclic». Car, martèle-t-il, «On ne peut pas accepter l’inacceptable, c’est-à-dire que nos dossiers soient mis sous le coude».
En prélude à cette paralysie programmée l’intersyndicale qui était en conférence de presse ce matin, prévoit de déposer à la Préfecture, un mémorandum pour informer le chef de l’Etat sur leur démarche, mais aussi, leur détermination à aller jusqu’au bout de leur logique.
A en croire le syndicaliste, l’Etat ne leur accorde pas d’importance d’autant plus que l’entente qui avait été scellée entre leur mouvement et le gouvernement n’a pas été respectée par ce dernier. Il s’en veut pour preuve la non tenue d’un Conseil interministériel dédié à la question malgré la promesse du Premier ministre.
Ne fermant pas la porte au dialogue, Sidiya Ndiaye et ses camarades se disent cependant déterminés à passer le cap de cette «grève d’avertissement », à une étape supérieure, si jamais Mahammad Boun Abdallah Dionne «ne provoque pas le déclic». Car, martèle-t-il, «On ne peut pas accepter l’inacceptable, c’est-à-dire que nos dossiers soient mis sous le coude».
Autres articles
-
Assemblée nationale: Guy Marius Sagna adresse 42 questions écrites au nouveau gouvernement de Sonko
-
Education nationale: le nouveau ministre annonce un recensement du personnel enseignant
-
Naufrage du bateau le "Joola" : l'association des familles des victimes veut faire du 26 septembre un jour férié
-
Grand Yoff : le maire Madiop Diop ne compte pas reculer devant les marchands
-
Ascosen alerte sur une probable hausse du prix de l'eau et indexe Macky Sall