La RADDHO, la LSDH, Amnesty International Sénégal exhortent les autorités administratives compétentes, les préfets et les sous-préfets en l’occurrence, à veiller au respect scrupuleux de la loi dans la composition des bureaux et commissions des Conseils.
Instituée par la loi n°2010-11 du 28 mai 2010 et applicable à toutes les fonctions totalement ou partiellement électives, la parité constitue une préoccupation pour les défenseurs des droits de l’Homme dans la composition des bureaux et commissions des Conseils départementaux et municipaux. En ce sens qu’elle favorise l’égalité homme-femme.
Ainsi, dans un communiqué conjoint parvenu à mercredi 9 février 2022, la RADDHO, la LSDH, Amnesty International/Sénégal appellent les acteurs des partis politiques au respect scrupuleux de la loi.
«La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), la Ligue sénégalaise des droits de l’homme (LSDH) et Amnesty International appellent les partis politiques, les coalitions de partis politiques et toutes les listes de candidatures indépendantes gagnantes aux élections territoriales du 23 janvier 2022 à appliquer la parité absolue homme-femme dans la composition des bureaux et commissions des Conseils départementaux et municipaux, conformément à la loi n°2010- 11, du 28 mai 2010, instituant la parité absolue homme-femme dans toutes les institutions totalement ou partiellement électives et son décret d’application», lit-on dans un communiqué conjoint des trois organisations de défense des droits humains, parcouru à Sud Quotidien hier, mercredi 9 février 2022.
De plus, soutiennent les signataires du document, « la Chambre administrative de la Cour suprême, par son arrêt n°2 du 8 janvier 2015, a réaffirmé l’obligation faite aux Conseils départementaux et municipaux de respecter scrupuleusement les dispositions de la loi sur la parité lors de la composition de leurs bureaux et commissions ».
Par ailleurs, « la RADDHO, la LSDH, Amnesty International Sénégal exhortent les autorités administratives compétentes, les préfets et les sous-préfets en l’occurrence, à veiller au respect scrupuleux de la loi dans la composition des bureaux et commissions des Conseils départementaux et municipaux ».
Instituée par la loi n°2010-11 du 28 mai 2010 et applicable à toutes les fonctions totalement ou partiellement électives, la parité constitue une préoccupation pour les défenseurs des droits de l’Homme dans la composition des bureaux et commissions des Conseils départementaux et municipaux. En ce sens qu’elle favorise l’égalité homme-femme.
Ainsi, dans un communiqué conjoint parvenu à mercredi 9 février 2022, la RADDHO, la LSDH, Amnesty International/Sénégal appellent les acteurs des partis politiques au respect scrupuleux de la loi.
«La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO), la Ligue sénégalaise des droits de l’homme (LSDH) et Amnesty International appellent les partis politiques, les coalitions de partis politiques et toutes les listes de candidatures indépendantes gagnantes aux élections territoriales du 23 janvier 2022 à appliquer la parité absolue homme-femme dans la composition des bureaux et commissions des Conseils départementaux et municipaux, conformément à la loi n°2010- 11, du 28 mai 2010, instituant la parité absolue homme-femme dans toutes les institutions totalement ou partiellement électives et son décret d’application», lit-on dans un communiqué conjoint des trois organisations de défense des droits humains, parcouru à Sud Quotidien hier, mercredi 9 février 2022.
De plus, soutiennent les signataires du document, « la Chambre administrative de la Cour suprême, par son arrêt n°2 du 8 janvier 2015, a réaffirmé l’obligation faite aux Conseils départementaux et municipaux de respecter scrupuleusement les dispositions de la loi sur la parité lors de la composition de leurs bureaux et commissions ».
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