Le groupement des armateurs et industriels de la pêche au Sénégal (Gaipes) se dit rassuré par l’avis du Centre de Recherches Océanographiques de Dakar-Thiaroye (CRODT) sur la surexploitation de certaines espèces halieutiques.
En effet, par correspondance n°110 D-CRODT du 27 mai 2020, le CRODT avait réagi à la saisine officielle de la Coalition (courrier GAIPES-S.G. AD/SDS/028/2020 du 11 mai 2020) demandant un éclairage de la Recherche sur l’état de nos principales ressources halieutiques. Ainsi, les chercheurs du CRODT ont livré un avis favorable au Gaipes rendant compte sur la surexploitation des espèces comme la sardinelle plate, la sardinelle ronde, le Merlu entre autres.
En d’autres termes, notifie le document des scientifiques, les stocks de ces variétés n’offrent pas un reliquat pouvant justifier l’octroi de nouvelles licences de pêche. La recherche recommande par ailleurs une réduction de l’effort de pêche actuel sur ces espèces ce que le Gaipes a magnifié. Pour le président du groupement, Saër Seck, sous ce rapport, le Crodt a raison dans sa délibération.
« Les avis des scientifiques doivent fonder la politique d’attribution des licences », dira-t-il, dans des propos rapportés par dakaractu. Saër Seck d’ajouter qu’on ne peut pas donner des licences sur des ressources qui sont surexploitées, au contraire, il faut tendre vers une revue dans l’octroi des licences d’exploitation.
En effet, par correspondance n°110 D-CRODT du 27 mai 2020, le CRODT avait réagi à la saisine officielle de la Coalition (courrier GAIPES-S.G. AD/SDS/028/2020 du 11 mai 2020) demandant un éclairage de la Recherche sur l’état de nos principales ressources halieutiques. Ainsi, les chercheurs du CRODT ont livré un avis favorable au Gaipes rendant compte sur la surexploitation des espèces comme la sardinelle plate, la sardinelle ronde, le Merlu entre autres.
En d’autres termes, notifie le document des scientifiques, les stocks de ces variétés n’offrent pas un reliquat pouvant justifier l’octroi de nouvelles licences de pêche. La recherche recommande par ailleurs une réduction de l’effort de pêche actuel sur ces espèces ce que le Gaipes a magnifié. Pour le président du groupement, Saër Seck, sous ce rapport, le Crodt a raison dans sa délibération.
« Les avis des scientifiques doivent fonder la politique d’attribution des licences », dira-t-il, dans des propos rapportés par dakaractu. Saër Seck d’ajouter qu’on ne peut pas donner des licences sur des ressources qui sont surexploitées, au contraire, il faut tendre vers une revue dans l’octroi des licences d’exploitation.
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