Les sections syndicales SAMES et SUTSAS de l’Agence sénégalaise de Réglementation Pharmaceutique (ARP) ont tenu à démentir catégoriquement un communiqué récemment diffusé, intitulé : « Dialogue social : l’ARP met en place des mécanismes durables, gage d’un dialogue permanent et d’une stabilité sociale renforcée ».
Les syndicats précisent que ce texte, diffusé récemment, fait état d'une prétendue réunion du Comité de dialogue social tenue le 19 décembre 2025 et en présente un récit aussi faux que fallacieux. Or, les deux sections syndicales affirment qu’aucun de leurs représentants n’a participé à cette rencontre.
En conséquence, les syndicats précisent que toute présentation de cette rencontre comme un acte de dialogue social constitue: « une contrefaçon manifeste des principes fondamentaux de la concertation, une tentative de manipulation de l'information et une dénaturation de la réalité sociale au sein de l'Agence ». Ils dénoncent un « procédé inacceptable visant à légitimer artificiellement un processus dépourvu de toute représentativité et légalité ».
SAMES et SUTSAS rappellent que le dialogue social ne peut se décréter par communiqué. Il se construit par la « présence et la participation effective des organisations syndicales représentatives, seules habilitées à porter la voix du personnel ». D’après les syndicats, il ne saurait en aucun cas être instrumentalisé à des « fins de pure communication institutionnelle ».
Les organisations soussignées dénoncent avec la plus grande vigueur cette manœuvre, qui trahit une « méconnaissance inquiétante des règles élémentaires de la concertation et ne reflète en rien la réalité du climat social ni une volonté sincère d'instaurer un dialogue apaisé et constructif ».
Par ailleurs, les syndicats réaffirment pleine disponibilité pour engager un véritable dialogue social, dans le strict respect du cadre légal, fondé sur la transparence, l'inclusion et le respect mutuel des prérogatives de chacune des parties.
Toutefois, ils mettent en garde contre toute tentative future de faire cautionner par leur silence ou leur supposée implication des initiatives unilatérales et non représentatives. « De telles pratiques ne sauraient recevoir notre assentiment ni engager notre responsabilité », soulignent-t-ils.
Les syndicats précisent que ce texte, diffusé récemment, fait état d'une prétendue réunion du Comité de dialogue social tenue le 19 décembre 2025 et en présente un récit aussi faux que fallacieux. Or, les deux sections syndicales affirment qu’aucun de leurs représentants n’a participé à cette rencontre.
En conséquence, les syndicats précisent que toute présentation de cette rencontre comme un acte de dialogue social constitue: « une contrefaçon manifeste des principes fondamentaux de la concertation, une tentative de manipulation de l'information et une dénaturation de la réalité sociale au sein de l'Agence ». Ils dénoncent un « procédé inacceptable visant à légitimer artificiellement un processus dépourvu de toute représentativité et légalité ».
SAMES et SUTSAS rappellent que le dialogue social ne peut se décréter par communiqué. Il se construit par la « présence et la participation effective des organisations syndicales représentatives, seules habilitées à porter la voix du personnel ». D’après les syndicats, il ne saurait en aucun cas être instrumentalisé à des « fins de pure communication institutionnelle ».
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