« Après l’incinération, cette semaine, par la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP), de 100 tonnes de juvéniles pêchées illégalement dans la Zone économique exclusive (ZEE) et destinées aux marchés de la sous-région, Greenpeace réaffirme son soutien aux services des pêches dans leurs actions visant à mettre fin à l’exploitation illégale des juvéniles et les invitent à intensifier ces actions face à ce fléau ».
Selon l’organisation, « la pêche aux juvéniles est une des multiples facettes de la surpêche qui gangrène nos océans. En plus de compromettre la reconstitution des stocks de poissons, elle met en danger les moyens de subsistance des petits pêcheurs et des femmes vendeuses et transformatrices qui tirent déjà le diable par la queue pour nourrir leurs familles ».
Greenpeace qui considère que des « mesures de prévention sont plus que nécessaires et doivent être intensifiées. Cela passe par l’adoption et l’application d’un code de la pêche contraignant, la conscientisation et la mobilisation des acteurs de la pêche contre ces pratiques ainsi qu’un contrôle permanent des activités de pêche », invite aussi « l’Etat du Sénégal à se doter de moyens pour une meilleure surveillance de ses eaux afin de prévenir ces actes extrêmes qui sapent les efforts de conservation mis en œuvre pour préserver les ressources halieutiques déjà fortement surexploitées ».
Selon l’organisation, « la pêche aux juvéniles est une des multiples facettes de la surpêche qui gangrène nos océans. En plus de compromettre la reconstitution des stocks de poissons, elle met en danger les moyens de subsistance des petits pêcheurs et des femmes vendeuses et transformatrices qui tirent déjà le diable par la queue pour nourrir leurs familles ».
Greenpeace qui considère que des « mesures de prévention sont plus que nécessaires et doivent être intensifiées. Cela passe par l’adoption et l’application d’un code de la pêche contraignant, la conscientisation et la mobilisation des acteurs de la pêche contre ces pratiques ainsi qu’un contrôle permanent des activités de pêche », invite aussi « l’Etat du Sénégal à se doter de moyens pour une meilleure surveillance de ses eaux afin de prévenir ces actes extrêmes qui sapent les efforts de conservation mis en œuvre pour préserver les ressources halieutiques déjà fortement surexploitées ».
Autres articles
-
Vague de chaleur : l'Anacim sonne l'alerte, 41 et 48 degrés attendus
-
L’apprenti et le chauffeur qui se chahutaient sur l’autoroute à péage arrêtés
-
Guédiawaye : 5 kg de chanvre indien saisis dans le domicile d'un chef de quartier
-
Ziguinchor : le REPSFECO plaide l'intégration des femmes dans les corps d'armées
-
🔴Suivez en Direct le bloc d’informations MidiKeng avec Babou Kâ, président de l’Amicale des élèves et étudiants stagiaires de l’ESEA