De la Société Nationale d’Electricité (SENELEC) et la Sénégalaise des Eaux (SDE) qui a tort ? Qui a raison ? Sur la situation de pénurie d'eau et de délestages de mise sous nos cieux ? La question est d’actualité vu les dernières sorties des deux entités qui s’accusent mutuellement. Pour la SENELEC, « tant que nous n’avons pas d’eau pour traiter le fuel, alimenter les chaudières, nous ne pourrons pas remettre la centrale de Kounoune en service » avait dit le Directeur Général, Pape Dieng. La SDE qui fait par de ceci : «le fait que la SDE dépende de la SENELEC peut aussi être source d’autres désagréments comme celui que nous avons vécu » s’inscrit même dans la perspective d’ « une alimentation en énergie alternative ».
En effet, monté au créneau le 24 septembre dernier date de la mise à l’arrêt de la centrale de Kounoune, le Directeur Général de la Société Nationale d’Electricité (SENELEC), Pape Dieng qui avait lâché la bombe n’avait pas manqué de faire cette précision.
« Nous sommes influencés par le service de la Sénégalaise des Eaux (SDE). La conséquence directe, c’est que Kounoune était à 67 mégawatt donc avec l’arrêt total de la centrale, on va délester 67 mégawatt. Si cela perdure, on va continuer à délester parce que tant que nous n’avons pas d’eau pour traiter le fuel, alimenter les chaudières, nous ne pourrons pas remettre la centrale en service ».
Un cadre de la SDE qui réagissait pas plus tard que ce mercredi à la question de savoir comment faire pour éviter que pareille pénurie d’eau ne se reproduise au Sénégal, a mis en exergue la nécessité pour la SDE de trouver « une énergie alternative ».
« L’actualité est comment faire pour attirer à Dakar une autonomie au moins partielle dans son alimentation en eau avec notamment une source d’eau locale dans la région mais aussi une alimentation en énergie alternative parce qu’aujourd’hui, le fait que la SDE dépende de la SENELEC peut aussi être source d’autres désagréments comme celui que nous avons vécu », décrète Diéry BA.
En effet, monté au créneau le 24 septembre dernier date de la mise à l’arrêt de la centrale de Kounoune, le Directeur Général de la Société Nationale d’Electricité (SENELEC), Pape Dieng qui avait lâché la bombe n’avait pas manqué de faire cette précision.
« Nous sommes influencés par le service de la Sénégalaise des Eaux (SDE). La conséquence directe, c’est que Kounoune était à 67 mégawatt donc avec l’arrêt total de la centrale, on va délester 67 mégawatt. Si cela perdure, on va continuer à délester parce que tant que nous n’avons pas d’eau pour traiter le fuel, alimenter les chaudières, nous ne pourrons pas remettre la centrale en service ».
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