Le dérèglement climatique est-il passé par là ? En tout cas, partout dans la capitale et sa banlieue actuellement, le constat amer
et emmerdant c’est que les moustiques ont pris leurs quartiers piquant par rafales, au ras du sol, au ras des jambes… S’ils ne frôlent pas le bout du nez ou ne sifflent pas aux oreilles empêchant de dormir du sommeil du juste. Et pourtant, lorsque ces bestioles déclenchaient leur assaut sur Dakar, en janvier, on était loin de la saison des pluies où les nombreuses flaques d’eau favorisent leur prolifération.
Donc pourquoi sommes-nous assaillis par les moustiques en cette période ? Selon l’ancien chef de Brigade régionale de l’hygiène de Dakar, le commandant Rassoul Ba, dans les colonnes du journal Le Témoin "ce phénomène inhabituel et inquiétant est dû à la densité des habitations construites dans des zones de captage comme le Technopôle-Pikine, Nord-Foire, Grand-Yoff etc."
L’officier de l’Hygiène à la retraite, ajoute "dès lors que les moustiques sont chassés de leur logis, ils trouvent refuge dans les habitations. Résultat : ces moustiques qui aimaient l’obscurité se reproduisaient dans les mares et autres flaques d’eau des zones de captage sont devenus des moustiques « urbains » ou domestiques puisqu’ils cohabitent désormais avec l’homme
chez lui.
Une prolifération de moustiques exacerbée aussi par le défaut d’opération de saupoudrage périodique de la part des pouvoirs publics, rapporte le journal.
et emmerdant c’est que les moustiques ont pris leurs quartiers piquant par rafales, au ras du sol, au ras des jambes… S’ils ne frôlent pas le bout du nez ou ne sifflent pas aux oreilles empêchant de dormir du sommeil du juste. Et pourtant, lorsque ces bestioles déclenchaient leur assaut sur Dakar, en janvier, on était loin de la saison des pluies où les nombreuses flaques d’eau favorisent leur prolifération.
Donc pourquoi sommes-nous assaillis par les moustiques en cette période ? Selon l’ancien chef de Brigade régionale de l’hygiène de Dakar, le commandant Rassoul Ba, dans les colonnes du journal Le Témoin "ce phénomène inhabituel et inquiétant est dû à la densité des habitations construites dans des zones de captage comme le Technopôle-Pikine, Nord-Foire, Grand-Yoff etc."
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