«Accélérons nos efforts pour éliminer le mariage des enfants en Afrique» c’est le thème de la semaine nationale de l’enfant africain, lancée hier à Pikine. Cette occasion a été saisie par la présidente de l’association, Fanta Guèye Ndiaye pour revenir sur les cas de mariage précoce notés dans cette ville. «La particularité à Pikine est que depuis un mois, nous avons constaté une recrudescence des gens qui viennent à la boutique de droit», a-t-elle déclaré.
La recrudescence de ces personnes découle d’une longue période de sensibilisation : «Nous menons des activités de sensibilisation, depuis trois mois sur les mariages précoces. Et nous avons enregistré, depuis un mois 13 cas de consultations relatives au mariage précoce dans le département de Pikine, à notre grande satisfaction. C’est des personnes qui viennent pour dénoncer des cas de mariages précoces »
La juriste affirme que des solutions sont tentées, surtout entre la concernée et sa famille. «Sur ces cas, nous avons essayé de trouver des solutions pour 7 d’entre eux, en faisant de la médiation entre les différentes familles concernées. Et ces médiations ont abouti», a-t-elle déclaré.
Cependant, Mme Ndiaye, par ailleurs, Mme Ndiaye est consciente de la complexité existante pour arriver à les aider. Mais la même situation prévaut aussi à Médina où 22 cas de maltraitances ont été notés par ses collègues juristes en 2014.
La recrudescence de ces personnes découle d’une longue période de sensibilisation : «Nous menons des activités de sensibilisation, depuis trois mois sur les mariages précoces. Et nous avons enregistré, depuis un mois 13 cas de consultations relatives au mariage précoce dans le département de Pikine, à notre grande satisfaction. C’est des personnes qui viennent pour dénoncer des cas de mariages précoces »
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