Le président sortant crache sur la main tendue de l'actuel président. "Nous ne céderons pas d'un pouce sur nos droits constitutionnels", tance le pape du Sopi qui fait dans la menace. Que son successeur ne s'avise pas d'interdire leur manifestation de demain mercredi. «En 1974, à l’époque des partis uniques installés partout...