Cette longue attente a pris fin mercredi 29 juin au soir, avec la distribution aux différentes délégations des groupes politico-militaires présents sur place d'une nouvelle mouture du projet d'accord de paix pour le Tchad.
Ce document, qui une fois signé, doit permettre aux chefs des groupes rebelles présents à Doha de participer au dialogue national inclusif, a également été soumis à la délégation gouvernementale ce jeudi 30 juin, selon nos sources à Doha.
Il s'agit d'une synthèse élaborée par la médiation qatarienne à partir des propositions présentées il y a près de deux mois par les deux parties en présence. « Il y a une nette amélioration par rapport au texte qu'on nous avait remis il y a deux semaines », juge un des leaders rebelles tchadiens qui participent à ces négociations.
Cessez-le-feu général, protection des leaders rebelles qui iront au dialogue de N'Djamena par des forces étrangères ou encore le DDR (désarmement, la démobilisation et la réintégration), il y a des propositions intéressantes sur ces sujets, reconnaît notre source, tout en parlant de divergences persistantes sur les questions concernant notamment le comité d'organisation du dialogue inclusif, la charte de transition ou la réforme de l'armée.
Un membre de la délégation gouvernementale a reconnu de son côté que la nouvelle mouture paraissait « plus équilibrée », il n'y a rien à redire à part quelques détails à corriger, a-t-il estimé.
Les deux parties ont trois jours pour amender ce projet d'accord.
Ce document, qui une fois signé, doit permettre aux chefs des groupes rebelles présents à Doha de participer au dialogue national inclusif, a également été soumis à la délégation gouvernementale ce jeudi 30 juin, selon nos sources à Doha.
Il s'agit d'une synthèse élaborée par la médiation qatarienne à partir des propositions présentées il y a près de deux mois par les deux parties en présence. « Il y a une nette amélioration par rapport au texte qu'on nous avait remis il y a deux semaines », juge un des leaders rebelles tchadiens qui participent à ces négociations.
Cessez-le-feu général, protection des leaders rebelles qui iront au dialogue de N'Djamena par des forces étrangères ou encore le DDR (désarmement, la démobilisation et la réintégration), il y a des propositions intéressantes sur ces sujets, reconnaît notre source, tout en parlant de divergences persistantes sur les questions concernant notamment le comité d'organisation du dialogue inclusif, la charte de transition ou la réforme de l'armée.
Un membre de la délégation gouvernementale a reconnu de son côté que la nouvelle mouture paraissait « plus équilibrée », il n'y a rien à redire à part quelques détails à corriger, a-t-il estimé.
Les deux parties ont trois jours pour amender ce projet d'accord.
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