Le marché hlm est plein de monde. Les chauffeurs de taxi et de «cars rapides» doublent le tarif à cause du bouchon qui s’est installé sur le trajet. Du rond-point castor le taximan se déplace lentement jusqu’aux alentours du marché. Le lieu est encombré, certains descendent pour faire le reste à pied.
Dans le marché, c’est l’ambiance. Mais chacun a sa préoccupation. Abdourahmane Barry, tailleur de profession souligne que : «le métier est difficile surtout à cette approche. L’électricité fait faux bond de temps à autres, ce qui ne nous permet pas de terminer à temps ». Il précise aussi que ce sont les étrangers qui viennent les premiers parce qu’ils doivent rentrer célébrer la fête au pays. Il ajoute que : «les Sénégalais viennent, mais la plupart attendent les dernières minutes».
Chapelet à la main, Ibrahima Ndiaye nous accorde son temps. Dans son pantalon jean, tee-shirt blanc, casquette vissée sur la tête, il explique : «la tendance c’est le « Getzner ». Son chiffre d’affaire augmente à l’approche de cette fête. Il ajoute : «pour la couture, les tailles basses sont prisées. Et elles sont cousues à 25000 FCfa pour les jeunes filles. Le prix dépend de la qualité du tissu. Les dames font le plus souvent des tailles Mame.
Pour avoir un peu d’argent, Boubacar Ndiaye, âgé de 18 ans et élève en classe de 1ere se convertit en vendeur à l’approche de la fête. «Ces chaussures coûtent entre 3000 et 5000 francs Cfa. Les clientes viennent peu à peu, mais des fois, on ne vend rien dans la journée», regrette-t-il.
En cette approche de fête, même si c’est toujours l’affluence dans ce marché, la plupart des clients ont déjà fait leurs achats. Car, explique un des vendeurs : «Les premiers arrivés sont les mieux servis pour la Tabaski».
Dans le marché, c’est l’ambiance. Mais chacun a sa préoccupation. Abdourahmane Barry, tailleur de profession souligne que : «le métier est difficile surtout à cette approche. L’électricité fait faux bond de temps à autres, ce qui ne nous permet pas de terminer à temps ». Il précise aussi que ce sont les étrangers qui viennent les premiers parce qu’ils doivent rentrer célébrer la fête au pays. Il ajoute que : «les Sénégalais viennent, mais la plupart attendent les dernières minutes».
Chapelet à la main, Ibrahima Ndiaye nous accorde son temps. Dans son pantalon jean, tee-shirt blanc, casquette vissée sur la tête, il explique : «la tendance c’est le « Getzner ». Son chiffre d’affaire augmente à l’approche de cette fête. Il ajoute : «pour la couture, les tailles basses sont prisées. Et elles sont cousues à 25000 FCfa pour les jeunes filles. Le prix dépend de la qualité du tissu. Les dames font le plus souvent des tailles Mame.
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