L'Initiative pour des élections démocratiques (IED), qui prépare une grande marche le 09 février pour exiger des autorités sénégalaises "la tenue d'une élection présidentielle démocratique et transparente" a appelé les pays amis du Sénégal à intervenir bien avant la tenue du scrutin, pour éviter que les "irrégularités" constatées lors des dernières législatives.
"Nous mettons en garde les amis du gouvernement Sénégalais et appelons l’attention de tous les pays qui contribuent d’une manière ou d’une autre à la prise en charge de nos élections, ainsi que celle des observateurs internationaux sur la nécessité de ne pas attendre le jour du scrutin ou au lendemain de celui-ci, pour regretter ou déplorer des phénomènes qui se sont accumulés tout au long d’un processus électoral qui n’aura été ni transparent, ni démocratique, ni sincère", ont-ils déploré dans un texte liminaire.
Les partis membres de l'IED menace de durcir le ton, si le chef de l'Etat ne réagi pas après leur mobilisation du 9 février. "Après cette marche du 9 février 2018, si le Président ne nous écoute pas, nous poursuivrons le travail d’organisation dans les autres départements du pays et dans la diaspora et arrêterons un autre plan d’action pour intensifier et élargir le champ des luttes de façon qu’à terme le peuple, dans son écrasante majorité, porte le combat parce qu’il aura compris que c’est son propre combat", ont-il écrit dans le document.
L'Initiative pour des élections démocratiques se démarque du dialogue politique national initié par le Président Macky Sall et récuse le médiateur désigné par ce dernier pour conduire les discussions sur le processus électoral
"Nous mettons en garde les amis du gouvernement Sénégalais et appelons l’attention de tous les pays qui contribuent d’une manière ou d’une autre à la prise en charge de nos élections, ainsi que celle des observateurs internationaux sur la nécessité de ne pas attendre le jour du scrutin ou au lendemain de celui-ci, pour regretter ou déplorer des phénomènes qui se sont accumulés tout au long d’un processus électoral qui n’aura été ni transparent, ni démocratique, ni sincère", ont-ils déploré dans un texte liminaire.
Les partis membres de l'IED menace de durcir le ton, si le chef de l'Etat ne réagi pas après leur mobilisation du 9 février. "Après cette marche du 9 février 2018, si le Président ne nous écoute pas, nous poursuivrons le travail d’organisation dans les autres départements du pays et dans la diaspora et arrêterons un autre plan d’action pour intensifier et élargir le champ des luttes de façon qu’à terme le peuple, dans son écrasante majorité, porte le combat parce qu’il aura compris que c’est son propre combat", ont-il écrit dans le document.
L'Initiative pour des élections démocratiques se démarque du dialogue politique national initié par le Président Macky Sall et récuse le médiateur désigné par ce dernier pour conduire les discussions sur le processus électoral
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