Il a annoncé que ce scrutin sera organisé "dans quatre à cinq mois".
Il veut veiller à ce que ces élections soient "libres, crédibles, justes et indiscutables" et souhaite ainsi rompre avec les pratiques de son prédécesseur Robert Mugabe.
En même temps, la purge au sein du parti au pouvoir, la Zanu PF se poursuit pour éliminer les allies de l'ancien chef d'Etat.
Onze alliés de l'ancien président Robert Mugabe, ont perdu, leur sièges a l'assemblée nationale.
Selon une retranscription d'une séance au parlement publiée jeudi, la vice-présidente de l'assemblée nationale Mabel Chinomona a affirmé que la Zanu PF, le parti pouvoir a indiqué au parlement que ces onze députés ne représentent plus les intérêts du parti et qu'ils ont donc été renvoyés.
Certains de ses députés ont été ministres sous le régime de Mugabe.
Emmerson Mnangagwa avait assuré qu'il n'y aurait pas de représailles, mais la purge semble bien se poursuivre visant ceux qui avaient publiquement exprimé leur soutien à Grace Mugabe, la femme de Robert Mugabe, autrefois candidate à sa succession.
Le 15 novembre dernier, lors de l'arrivée au pouvoir d'Emmerson Mnangagwa grâce a un coup de force de l'armée, de nombreux allies politiques du couple Mugabe avaient été arrêtés lors de raid menés par les militaires.
D'autres ont fui à l'étranger. Parmi les anciens hauts responsables du parti vivant désormais en exil, il y a Jonathan Moyo.
Dans une interview accordée à la BBC il y a quelques jours, l'ancien ministre de l'Education supérieure a assuré, que la communauté internationale devait agir pour destituer ce gouvernement militaire illégitime.
Et en coulisses, des allies d'Emmerson Mnangagwa assurent qu'ils craignent désormais que les proches de Robert Mugabe s'organisent et mènent campagne contre le nouveau président du pays, en vue des élections présidentielles et législatives qui devraient avoir lieu dans 4 ou 5 mois.
Il veut veiller à ce que ces élections soient "libres, crédibles, justes et indiscutables" et souhaite ainsi rompre avec les pratiques de son prédécesseur Robert Mugabe.
En même temps, la purge au sein du parti au pouvoir, la Zanu PF se poursuit pour éliminer les allies de l'ancien chef d'Etat.
Onze alliés de l'ancien président Robert Mugabe, ont perdu, leur sièges a l'assemblée nationale.
Selon une retranscription d'une séance au parlement publiée jeudi, la vice-présidente de l'assemblée nationale Mabel Chinomona a affirmé que la Zanu PF, le parti pouvoir a indiqué au parlement que ces onze députés ne représentent plus les intérêts du parti et qu'ils ont donc été renvoyés.
Des députés renvoyés
Certains de ses députés ont été ministres sous le régime de Mugabe.
Emmerson Mnangagwa avait assuré qu'il n'y aurait pas de représailles, mais la purge semble bien se poursuivre visant ceux qui avaient publiquement exprimé leur soutien à Grace Mugabe, la femme de Robert Mugabe, autrefois candidate à sa succession.
Le 15 novembre dernier, lors de l'arrivée au pouvoir d'Emmerson Mnangagwa grâce a un coup de force de l'armée, de nombreux allies politiques du couple Mugabe avaient été arrêtés lors de raid menés par les militaires.
D'autres ont fui à l'étranger. Parmi les anciens hauts responsables du parti vivant désormais en exil, il y a Jonathan Moyo.
Dans une interview accordée à la BBC il y a quelques jours, l'ancien ministre de l'Education supérieure a assuré, que la communauté internationale devait agir pour destituer ce gouvernement militaire illégitime.
Et en coulisses, des allies d'Emmerson Mnangagwa assurent qu'ils craignent désormais que les proches de Robert Mugabe s'organisent et mènent campagne contre le nouveau président du pays, en vue des élections présidentielles et législatives qui devraient avoir lieu dans 4 ou 5 mois.
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