L’affaire concernant Hussein Habré sur les exactions commises par son régime entre 1982 à 1990, connaît de nombreux rebondissements. En 2001, la cour suprême avait dit que le Sénégal ne pouvait pas juger un étranger pour des faits qui se sont passé à l’étranger. Ainsi le dossier sur les poursuites contre Habré pour torture et crime contre l’humanité est tombé au point mort.
Selon Me Assane Dioma Ndiaye, avec la mise en place des Chambres Africaine extraordinaire en 2012, l’espoir est né auprès des victimes qui ont toujours demandé d’avoir droit à un procès. « C’est cette opportunité que les Chambres Africaines Extraordinaire nous offrent », glisse Me Ndiaye lors d’un atelier du consortium de sensibilisation sur les CAE.
En effet, après 23 ans d’attente, le dossier a connu une avancée rapide de la procédure en 18 mois. Mais, selon M. Hugo Jombwe, expert en droit international, il y a eu d’importantes difficultés dans la coopération entre les CAE et le TCHAD : La constitution de partie civile, question du transfert, le parallélisme des procédures et l’intersection de Saleh Younouss Ali et Mahamat Djibrine dit El Djonto.
Selon l’avocat Me Assane Dioma Ndiaye qui intervenait lors de l’atelier du consortium de sensibilisation sur les CAE, une partie de l’espoir des victimes s’est effrité avec le refus de l’État Tchadien de la 4éme commission rogatoire. Il a opposé aux CAE, l’ouverture d’un procès au Tchad, contre les deux co-prévenus d'Habré à savoir Saleh Younouss Ali et Mahamat Djibrine dit El Djonto. D’ailleurs, l’avocat souligne qu’ils n’auront pas un procès équitable.
Selon Me Assane Dioma Ndiaye, avec la mise en place des Chambres Africaine extraordinaire en 2012, l’espoir est né auprès des victimes qui ont toujours demandé d’avoir droit à un procès. « C’est cette opportunité que les Chambres Africaines Extraordinaire nous offrent », glisse Me Ndiaye lors d’un atelier du consortium de sensibilisation sur les CAE.
En effet, après 23 ans d’attente, le dossier a connu une avancée rapide de la procédure en 18 mois. Mais, selon M. Hugo Jombwe, expert en droit international, il y a eu d’importantes difficultés dans la coopération entre les CAE et le TCHAD : La constitution de partie civile, question du transfert, le parallélisme des procédures et l’intersection de Saleh Younouss Ali et Mahamat Djibrine dit El Djonto.
Selon l’avocat Me Assane Dioma Ndiaye qui intervenait lors de l’atelier du consortium de sensibilisation sur les CAE, une partie de l’espoir des victimes s’est effrité avec le refus de l’État Tchadien de la 4éme commission rogatoire. Il a opposé aux CAE, l’ouverture d’un procès au Tchad, contre les deux co-prévenus d'Habré à savoir Saleh Younouss Ali et Mahamat Djibrine dit El Djonto. D’ailleurs, l’avocat souligne qu’ils n’auront pas un procès équitable.
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