Les avocats de Khalifa Sall accusent l’Etat d'avoir donné des consignes pour qu'ils ne puissent pas s'entretenir avec leur client, Khalifa Ababacar Sall depuis le début du procès le mardi 23 janvier jusqu'à aujourd'hui.
"Depuis le démarrage du procès le mardi 23 janvier, les avocats de Khalifa Sall nont pas eu accès à leur client, c'est regrettable, et tout cela émane de l'Etat. C’est l’Etat qui qui donne des instructions à l'administration pénitentiaire qui, à son tour, donne des instructions au Procureur", dit Me Mouhamdou Seydou Diagne.
Et, "c’est regrettable. C’est à Khalifa Sall d’organiser sa défense, nous ne faisons que le défendre. Peut-être qu'il a des choses à nous dire", a-t-il conclu
"Depuis le démarrage du procès le mardi 23 janvier, les avocats de Khalifa Sall nont pas eu accès à leur client, c'est regrettable, et tout cela émane de l'Etat. C’est l’Etat qui qui donne des instructions à l'administration pénitentiaire qui, à son tour, donne des instructions au Procureur", dit Me Mouhamdou Seydou Diagne.
Et, "c’est regrettable. C’est à Khalifa Sall d’organiser sa défense, nous ne faisons que le défendre. Peut-être qu'il a des choses à nous dire", a-t-il conclu
Autres articles
-
Lutte contre les émissions de gaz à effet de serre : le Sénégal valide le manuel opérationnel et reçoit 2 millions de dollars de financement de la BM
-
Sénégal : Bassirou Diomaye Faye nomme 24 nouveaux Hauts fonctionnaires de défense (Hfd)
-
Université de Thiès : le ministre de l'Enseignement Supérieur annonce des mesures urgentes pour régler les problèmes
-
FIARA 2024: «Nous voulons que notre mandat soit marqué par l'accession réelle du Sénégal à la souveraineté» (PR Bassirou Diomaye)
-
Éducation : Ousmane Sonko veut une revue du programme scolaire avec l’introduction des langues nationales et de l’anglais