Cela fait bientôt trois saisons que Thiago Silva arpente les terrains de Ligue 1. Avant ça, le capitaine du Paris Saint-Germain avait fait ses armes chez lui au Brésil avant de se révéler en Serie A, sous le maillot du Milan AC.
Deux expériences bien différentes du style de la Ligue 1, mais qui ont été essentielles pour conquérir sa réputation de meilleur défenseur du monde au moment de rejoindre les Rouge-et-Bleu. Dans le cadre d’une séance photo organisée pour la promotion des nouveaux kits d’entraînement dévoilés par l’équipementier Nike, l’international auriverde a bien voulu se prêter au jeu des comparaisons entre le Brasileirão, la Serie A et notre Ligue 1.
« Ce sont trois écoles différentes. Au Brésil, c’est surtout basé sur le dribble, la qualité technique. Le football brésilien en demande beaucoup, c’est pour ça qu’il se différencie des autres. En Italie, il y a un gros travail sur le positionnement tactique. On travaille beaucoup cet aspect-là. Ça m’a énormément aidé pour ma carrière, car j’ai appris avec Ancelotti, j’ai observé Maldini et j’ai aussi appris en jouant aux côtés de Nesta, donc que des cracks. J’ai eu un bon apprentissage. » Surnommé O Monstro (le Monstre en portugais, ndlr), Thiago Silva s’est forgé sur le modèle de ses deux illustres coéquipiers rossoneri.
Pourtant, débarquer en Ligue 1, un championnat réputé moins clinquant que la Serie A, n’a pas été de tout repos. « En France, c’est un football très dur physiquement, ce qui n’existe pas trop au Brésil ni en Italie même s’il y a des joueurs costauds. Ici, en France, il y a beaucoup de contacts. La saison dernière, lors d’un match contre Lorient, je me souviens d’un coup de coude que j’ai reçu. Ce n’était pas fait méchamment, mais tout simplement parce qu’il était grand et ça rend les choses plus difficiles. Comme c’est un sport de contact ici en France, ça m’a rendu les choses difficiles, mais ce sont des choses qui arrivent donc ce sont trois écoles différentes. » Depuis, après un passage à vide de plusieurs mois, Thiago Silva a retrouvé des couleurs et surtout son rang de défenseur presque infranchissable.
Deux expériences bien différentes du style de la Ligue 1, mais qui ont été essentielles pour conquérir sa réputation de meilleur défenseur du monde au moment de rejoindre les Rouge-et-Bleu. Dans le cadre d’une séance photo organisée pour la promotion des nouveaux kits d’entraînement dévoilés par l’équipementier Nike, l’international auriverde a bien voulu se prêter au jeu des comparaisons entre le Brasileirão, la Serie A et notre Ligue 1.
« Ce sont trois écoles différentes. Au Brésil, c’est surtout basé sur le dribble, la qualité technique. Le football brésilien en demande beaucoup, c’est pour ça qu’il se différencie des autres. En Italie, il y a un gros travail sur le positionnement tactique. On travaille beaucoup cet aspect-là. Ça m’a énormément aidé pour ma carrière, car j’ai appris avec Ancelotti, j’ai observé Maldini et j’ai aussi appris en jouant aux côtés de Nesta, donc que des cracks. J’ai eu un bon apprentissage. » Surnommé O Monstro (le Monstre en portugais, ndlr), Thiago Silva s’est forgé sur le modèle de ses deux illustres coéquipiers rossoneri.
Pourtant, débarquer en Ligue 1, un championnat réputé moins clinquant que la Serie A, n’a pas été de tout repos. « En France, c’est un football très dur physiquement, ce qui n’existe pas trop au Brésil ni en Italie même s’il y a des joueurs costauds. Ici, en France, il y a beaucoup de contacts. La saison dernière, lors d’un match contre Lorient, je me souviens d’un coup de coude que j’ai reçu. Ce n’était pas fait méchamment, mais tout simplement parce qu’il était grand et ça rend les choses plus difficiles. Comme c’est un sport de contact ici en France, ça m’a rendu les choses difficiles, mais ce sont des choses qui arrivent donc ce sont trois écoles différentes. » Depuis, après un passage à vide de plusieurs mois, Thiago Silva a retrouvé des couleurs et surtout son rang de défenseur presque infranchissable.
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