L'absence de Karim hier à la marche dispersée du Front pour la Défense du Sénégal (FDS) / Mankoo Watù Senegaal (MWS), ne passe vraiment pas du côté de ces jeunes du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Kadidiatou Sonko et Cie en veulent à Wade-fils.
«Nous voulons que le parti détermine son candidat parce que nous sommes tous militants.
«Depuis sa sortie en prison, on n’attend pas Karim Wade. On veut qu’il vienne mouiller le maillot comme l’a fait son père en son temps; en 1976, il a combattu auprès des militants. Aujourd’hui, il est à Doha et Me Abdoulaye Wade est à Versailles, on ne sait plus sur quel pied danser sinon recevoir des SMS : «Aller à la marche, faites ceci, faites cela…». On considère Karim comme un militant du PDS », tonne Khadidiatou Sonko.
Et de poursuivre: «Aujourd’hui, ce n’est pas à Wade de nous imposer son fils, pour dire que c’est qui va être notre candidat. Ce qu’on propose, c’est qu’on aille au Congrès comme l’a fait son père en 2000 et que les militants le plébiscitent. Au cas où sa candidature serait rejetée, qu’on ait une alternative (autrement dit) un autre candidat. Mais ce qu’on constate, c’est que même avec une voiture, il y a toujours une roue de secours donc on ne peut pas rester là à attendre».
Pour cette dernière, Karim Wade doit «revenir, s’engager auprès des militants et mouiller le maillot, aller au front, descendre sur le terrain comme tout le monde parce que la politique, ce n’est pas seulement rester dans son petit coin, prendre son téléphone et donner des directives. Hier, on a été à la marche, qu’il vienne faire comme nous. Il n’est pas plus méritant que nous… ».
«Nous voulons que le parti détermine son candidat parce que nous sommes tous militants.
«Depuis sa sortie en prison, on n’attend pas Karim Wade. On veut qu’il vienne mouiller le maillot comme l’a fait son père en son temps; en 1976, il a combattu auprès des militants. Aujourd’hui, il est à Doha et Me Abdoulaye Wade est à Versailles, on ne sait plus sur quel pied danser sinon recevoir des SMS : «Aller à la marche, faites ceci, faites cela…». On considère Karim comme un militant du PDS », tonne Khadidiatou Sonko.
Et de poursuivre: «Aujourd’hui, ce n’est pas à Wade de nous imposer son fils, pour dire que c’est qui va être notre candidat. Ce qu’on propose, c’est qu’on aille au Congrès comme l’a fait son père en 2000 et que les militants le plébiscitent. Au cas où sa candidature serait rejetée, qu’on ait une alternative (autrement dit) un autre candidat. Mais ce qu’on constate, c’est que même avec une voiture, il y a toujours une roue de secours donc on ne peut pas rester là à attendre».
Pour cette dernière, Karim Wade doit «revenir, s’engager auprès des militants et mouiller le maillot, aller au front, descendre sur le terrain comme tout le monde parce que la politique, ce n’est pas seulement rester dans son petit coin, prendre son téléphone et donner des directives. Hier, on a été à la marche, qu’il vienne faire comme nous. Il n’est pas plus méritant que nous… ».
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