La satisfaction domine chez tous les participants aux négociations de Khartoum. Après dix jours de débat, l'Union africaine a annoncé samedi que les groupes armés et le gouvernement centrafricain étaient parvenus à un accord. Chacun se réjouit, mais sans donner de détails.
Dans un pays où les groupes armés contrôlent environ 80 % du territoire, ce nouvel accord – le huitième – suscite un nouvel espoir, même si pour l'instant il n'a pas été rendu public. Selon plusieurs sources, le texte aborde des questions très sensibles comme celle de l'amnistie, d'un gouvernement de sortie de crise, de la création de brigades mixtes de sécurité ou encore le problème de la transhumance.
Avant la signature officielle à Bangui, l'accord doit être paraphé par les parties prenantes à Khartoum. La cérémonie de paraphe prévue dimanche a été reportée à mardi à cause d'un contretemps dans les calendriers des chefs d'Etat attendus. En plus du Centrafricain Faustin Archange Touadéra, la présence de deux dirigeants est particulièrement espérée : celle du président soudanais Omar el-Béchir, mais aussi celle du chef de l'Etat tchadien, Idriss Déby, dont l'influence est jugée indispensable à la réussite du processus.
Dans un pays où les groupes armés contrôlent environ 80 % du territoire, ce nouvel accord – le huitième – suscite un nouvel espoir, même si pour l'instant il n'a pas été rendu public. Selon plusieurs sources, le texte aborde des questions très sensibles comme celle de l'amnistie, d'un gouvernement de sortie de crise, de la création de brigades mixtes de sécurité ou encore le problème de la transhumance.
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