Selon la FIDH, "des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ont été commis en Centrafrique et continuent de l'être".
La rapport parle également de "conflit de l'impunité" et fait suite, selon l'Ong, de plusieurs missions d'enquête sur place en Centrafrique.
Il poursuit en indiquant avoir établi les responsabilités des parties en conflit, à savoir l'ex-rébellion de la Séléka et les milices anti-balaka.
Pour la FIDH, le conflit centrafricain est "un conflit politico-ethnique pour le contrôle du pouvoir qui a progressivement pris une dimension religieuse.
Source : BBC Afrique
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